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Les meditations mondiales pour la terre

Eratum

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Les meditations mondiales pour la terre avril 2020

Depuis toujours, la terre n’a jamais eu besoin de nos méditations. Encore une fois, la terre va bien.

Mais si la civilisation des humains va mal, c’est aux humains qu’il appartient de faire le chemin pour changer leur vision d’esprit. La preuve en est que nous sommes de passage. Ce n’est pas le temps qui passe mais bien nous qui passons. Les jours et les nuits se succèderont alors que nous, nous serons morts depuis longtemps.

La terre va bien et n’a pas besoin des humains pour vivre. La terre va bien et n’a pas besoin de modifications énergétiques ou de quelconque grilles de protection, d’aide pour faire passer telles énergies ou telles énergies ou faire des connexions pour fonctionner, pour vivre et continuer sa course au travers de l’univers. La terre nous montre bien des choses depuis longtemps que nous ne voulons pas entendre.

Ce sont seulement et seulement les humains qui ont besoin de se calmer et de trouver la sérénité intérieure et non extérieure. Les méditations ne sont que des tentatives de contrôle pour diriger les personnes divines, spirituelles ou qui découvrent la spiritualité, vers de faux chemins.

Méditer pour l’homme, méditer avec l’intention d’envoyer de la lumière aux hommes, aux humains et arrêter d’emmerder la terre avec vos soi-disantes méditations qui ne font du bien qu’à ceux qui les organisent et parfois à ceux que les pratiquent.

En méditant comme une personne qui se croie être une spécialiste parce qu’elle médite 3 fois par semaine, cette personne ne fait qu’envoyer ses croyances et ses distorsions et même pire ses schémas non résolus.

Parce que vous croyez que l’intention humaine est la même que celle de la terre des végétaux, des animaux ou des cristaux ? L’humain humanise tout et croie, de ce fait, que tout est humain à l’image de l’humain. Nous ne prenons même pas le temps d’écouter ces différences.

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Nature

Nature

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Nature

Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…

Mais est-ce là notre véritable nature ?

Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.

Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?

Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine; notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.

La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.
Certes nous ne sommes pas des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain. Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations. En fait il s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées et qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.

Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.

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Être humain

Être humain

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Etre Humain

Un arbre est un arbre jusqu’à ce que l’on dise que ce n’est pas un arbre. Mais par exemple, que c’est une herbe. Du point de vue de notre taille, les arbres peuvent ressembler à un arbre comme nous les connaissons, comme on nous les a décrit. Avec leurs racines qui s’enfoncent dans la terre, leur tronc, leur écorce, leur branches et leur feuillages qui s’élèvent dans le ciel. Mais depuis un avion, nous n’allons voir que de l’étendue verte et la conception même de l’arbre si nous n’avons connu que cet angle de vue, celui du ciel, sera absent de notre regard et sera absent du domaine même de la connaissance de notre esprit. Qu’en est-il de notre condition d’humain ?

Bon nombre de personnes sentent, perçoivent que la condition dont on les nomme ne correspond pas tout à fait à leurs ressentis. Par exemple, certains ressentent qu’ils sont des femmes alors qu’ils sont pourvus d’une enveloppe d’homme. Certaines ressentent qu’elles sont des hommes alors qu’elles sont pourvues d’une enveloppe de femme. Ceci est bien connu de la plupart d’entre nous.

Aussi loin que vous pouvez vous souvenir, n’avez-vous jamais ressenti que vous n’étiez pas ce que l’on disait que vous étiez ? Pas forcément d’un autre sexe mais d’une autre condition. Par exemple que l’enveloppe du corps humain dont nous étions revêtu n’était pas la composante essentielle de notre être. Possible aussi qu’une autre perception est été présente, même une autre compréhension plus vaste de nous même ou peut être plus intérieure de nous même ? Peut être ressentez-vous encore aujourd’hui cette particularité ?

Ces questions ne sont pas là pour vous faire partir vers l’extérieur de vous même, mais bien de pouvoir vous faire toucher/ressentir, poser le regard sur la force qui est en vous, la force qui vous habite et qui compose cette existence qui est la votre sur cette terre où vous habitez. Il ne s’agit pas de faire un voyage et de se prendre pour un extraterrestre mais bien de rester dans vos chaussures, bien dans cette dimension qui est la votre et dont tous nous faisons partie.

Souvent, lorsque nous étions plus jeunes, nous nous sommes confrontés avec ce monde étrange où nous vivons actuellement. Je dis étrange car nous avions à l’époque, parfois pendant quelques mois ou durant des années, nous avions tant de questions à poser aux adultes que les adultes même étaient parfois décontenancés pour trouver une réponse. Ces questions les amenaient sur un chemin de réflexion, de sagesse parfois, avec beaucoup de différence dans la façon de penser de ces adultes. Nous suscitions de la réflexions chez ces mêmes adultes, de l’interrogation et parfois même de l’admiration, car ces paroles, ces commentaires, ces questions que nous posions étaient une mise en réflexion étonnante.

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Les petites morts

Les petites morts

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Les petites morts

Les petites morts sont des schémas qui nous poussent à nous faire croire que nous allons mourir. Parfois consciemment et parfois inconsciemment. Parfois cela relève d’une absence de reconnaissance, d’un manque, que l’on attribue à une absence de vie. Parfois cela vient d’un jugement personnel face à une situation et nous plongeons dans un vide que nous traduisons par une absence de vie. Mais cette reconnaissance, ce manque, ce vide sont fondés par quoi, sur quoi ? le système parental ? le système éducatif ? Le jugement du monde emprunt d’influence familiale et que nous persistons à continuer d’appliquer au fil de nos expériences ?

Je dirai peu importe car un système de reconnaissance basé sur l’extérieur de nous est voué à l’échec et à des blessures si profondes, qu’il pourra être difficile de les voir et/ou de s’en libérer. Difficile ne veut pas dire impossible, mais veut dire qu’une libération pourra être longue. Difficile, jusqu’à ce que nous posions un regard, une conscience sur ce que nous croyions mentalement absurde au premier abord et un peu plus tard, qui prendra le chemin de la libération de ces schémas installés, le temps que la compréhension s’installe. Ces schémas ne nous entraînent pas toujours dans l’extrême, c’est à dire vers ce sentiment de mort ou de vide profond, mais peuvent nous positionner dans une espèce de dépression, de pensées mélancoliques, d’une impression de tourner en rond, d’avoir un petit vélo dans la tête, d’être en prison etc….

Nous apprenons à juger par rapport à ce que cela nous rapporte et nous considérons que si cela ne nous rapporte rien alors il n’y a pas de vie. Nous n’apprenons pas à juger par rapport au besoin de la situation présente. C’est à dire si ce que nous faisons, si ce que nous générons autour de nous est juste et si cela génère du bien être pour nous et autour de nous. Nous n’apprenons pas non plus à regarder et surtout à trouver par nous même, les solutions de notre vie quotidienne. Nous forgeons notre jugement emprunt d’influences mentales, de déductions et tout cela dénué de perception, parfois même dénué d’observation. Tout au plus nous nous essayons dans cette observation accompagnée d’une recherche de solution personnelle au travers du système éducatif, mais pour de courtes périodes et comme outils ponctuels. Trouver ne veut pas dire appliquer un concept, une manière, mais bien de créer notre propre manière, notre propre concept en fonction de ce que l’on perçoit, de ce que l’on pressent, en fonction de nos intuitions et de nos observations et dans le respect des acteurs de la situation, dans le respect de la situation elle même et de sa demande.

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Expériences

Expériences

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Expériences

Le Bouddha a enseigné que la méditation est le moyen d’atteindre la réalisation. Pour prendre un exemple, supposons que quelqu’un n’ait jamais mangé de miel. On ne peut convaincre cette personne qu’il est sucré, simplement en lui répétant que tel est le cas.

Même si cette personne comprends le sens des mots employés, tant qu’elle ne l’aura pas goûté, elle ne fera pas l’expérience de sa douceur.

En ce qui concerne le Dharma, même si nous recevons les enseignements et y réfléchissons pendant longtemps, tant que nous ne les appliquons pas dans la méditation, nous ne pouvons les intégrer.

THRANGOU RINPOCHE.

La pratique est primordiale. Chaque expérience doit se faire en temps et en heure. Précipiter les choses ne causera que désagrément et fera naître d’autres effets.

Nous ne sommes pas venus ici pour tout tester, tout expérimenter, sauf si nous en faisons le choix. Mais est-ce un réel choix ?

Nous sommes venus pour faire certaines expériences. A chaque mouvement, la nature cherche la voie du milieu, celle de l’équilibre. Ainsi un esprit en mouvement rencontrera le mouvement. Ainsi un corps en mouvement, rencontrera le mouvement. Qu’il soit intérieur, subtile ou encore extérieur, le mouvement existe bel et bien. Même lorsque nous nous arrêtons ou plutôt même lorsque nous semblons nous arrêter. Le mouvement attire le mouvement et parfois pas celui que l’on souhaite. En d’autres termes nous devons méditer sur ce qui est bon pour nous au moment où nous l’expérimentons. Si cette faculté de mouvement est en symbiose avec la ou les situations que nous vivons ainsi que nous même, alors ce mouvement fera parti d’un tout et nous bénéficierons d’effets positifs.

Savoir renoncer à une situation parce que nous ne sommes pas prêt est aussi efficace que d’expérimenter une situation, parce que nous ressentons la nécessité forte intérieure de le faire. Non point parce que cela nous rapportera quelque chose mais bien parce qu’un élan intérieur nous guide. Non point parce que nous sommes tenaillés par la possession ou l’envie d’avoir, de posséder ou parfois même, le simple fait d’expérimenter pour expérimenter, mais bien parce qu’une communication subtile, un appel intérieur, une intimité naissante s’installe. Et pour reconnaître cela en nous, nous devons nous connaître, nous regarder, nous voir et installer une pratique de notre intimité profonde.

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Ecouter les silences

Ecouter les silences

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Écouter les silences
Je parlais de silence dans l’article précédent…

Prenons-nous le temps de fouiner, de fouiller, d’effeuiller les couches de notre intérieur ?
Avons-nous pensé à nous arrêter ? Arrêter de bouger, intérieurement et extérieurement ? Arrêter, de nous occuper l’esprit, le corps ?
Arrêter. Nous poser. Nous stopper !
Arrêter, mais vraiment !

Nous arrêter totalement afin d’écouter, de regarder, de sentir notre corps se poser, se détendre, se mettre en pause. Avons-nous seulement et vraiment essayer ne serait-ce qu’une seule fois ?

Juste quelques 10 minutes. Et Aussi, de nous préparer à vivre cet événement de manière à nous donner la possibilité de rassembler tous les éléments nécessaires à ce moment. Éléments qui se composent d’une petite préparation pour que notre corps ne soit pas tenté de s’occuper physiquement par la vue, par le goût, par le touché, etc… Position méditative ou je dirai plutôt position d’observation de notre corps et de notre esprit, assis ou allongé, dans tous les cas une position où nous sommes détendus où nous pouvons nous détendre, pour favoriser le lâcher prise des stimuli extérieurs. Laisser se poser l’esprit, la respiration et le corps avec ses muscles et son système nerveux, et surtout observer notre capacité à voir tout ce qui pourrait être cacher derrière les émotions et les pensées qui pourraient surgir. Ce n’est peut être pas du mouvement d’ailleurs. Observer, non pas juger, mais observer en laissant passer comme une rivière qui coule, tout ce qui pourrait surgir de nous ou qui apparaîtrait à nos sens dans ce très bref instant lorsque nos pensées et nos émotions cessent d’être en mouvement.

Je parle bien d’observation et non pas de stress lié à une attention poussive et extrême. La respiration et la concentration. Être là, présent à soi. C’est pour cela que la pratique de la méditation nous apporte la sérénité suffisante pour ne pas nous laisser aller à un but ou à une attention extrême qui favoriserait la mise en stress dû à une attente d’un événement intérieur, dû à une attente de résultat. Observer son corps est simplement le fait de poser le regard sur les différentes parties de notre corps, pas d’en émettre des émotions à chaque fois que nous rencontrons une partie de notre corps. Encore moins de la modifier, de projeter quelques pensées que ce soit sur elle. Lorsque nous nous plaçons en méditation, nous sommes dans l’observation, pas dans l’action, du mouvement intérieur physique et du mouvement intérieur de notre esprit. Le fait de se poser est réel. Le fait d’observer est réel.

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Nouvelle méditation

meditationVoici une nouvelle méditation guidée du deuxième cycle.

La respiration subtile. Respirer avec son corps, ses poumons, son ventre sont des réflexes naturels. Porter son attention sur d’autres points plus subtils sur notre corps et les faire respirer est une autre manière de percevoir notre monde, une autre manière de vivre son corps. Nous avons un corps physique avec sa superficialité que nous faisons travailler chaque jour en plus ou moins conscience.

La marche, le sport, nos 5 sens, les émotions sont des moyens que nous utilisons quotidiennement, mais nous ne faisons travailler notre subtilité que très rarement. Nos corps subtiles ont besoin de notre présence pour nous faire vivre, pour nous aider à nous nourrir mais aussi à soigner notre physique. S’ils ne sont pas entretenus, ils sont laissés à n’importe quelles autres énergies et de grandes répercutions sont à prévoir sur notre corps physique.

La plus grande source de déséquilibre de notre corps ? La non présence à soi. C’est à dire la non présence à son corps et à son esprit.

La plus grande source de pollution ? Nos pensées négatives.

Mais commençons par la présence à soi. Par la respiration, nous pouvons accéder aux parties de notre corps que nous n’occupons pas dont nous n’avons pas la conscience. Respirer avec ses parties subtiles est un gage d’espace intérieur, de tranquillité et de sérénité.

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Nouvelle Guidance, méditation, visualisation

soleilC’est avec une joie et un plaisir immense que je vous annonce cette nouvelle Guidance/Méditation.

Perceptions Intérieures : La Circulation

Je vous souhaite beaucoup de soleil et de détente dans votre corps et votre cœur pour ces mois d’été qui arrivent.

Surtout ne vous oubliez pas !

Apportez-vous, chaque jour, de la tendresse et de la relaxation, de l’amour et de la passion.

N’oubliez pas de vous entourer de gens qui vous apportent joie et gaieté, ce qui permettra de favoriser votre évolution et votre partage. Un été réussi est un été empli de rires, de sourires et de tendresse, de calme intérieur.

Alors peut être la nature, la mer ou la montagne mais, en toutes circonstances et en toutes situations, n’oubliez pas d’être conscient, n’oubliez pas que le mental peut vous créer des problèmes et que le meilleur, c’est de prendre du recul sur les situations et les évènements que vous vivez. Aiguisez votre regard, caresser les vagues de vos émotions car vous avez besoin de tendresse et de douceur, accueillez ces moments avec votre ouverture d’esprit et le recul nécessaire à votre paix intérieure.

La liberté intérieure passe par la pratique :

 S’exprimer  Ce que l’on réprime, s’imprime
 Dédramatiser  Ce à quoi l’on résiste, persiste
 S’enraciner  Ce que l’on fuit, nous poursuit
 Lâcher prise  Ce qui nous affecte, nous infecte
 Se responsabiliser  Ce à quoi l’on fait face, s’efface
 S’unifier  Ce que l’on visualise, tente à se matérialiser
 Rayonner  Ce que l’on bénit, nous ravit !

Souriez à la vie 🙂 et bon été à toutes et tous.

A bientôt
Hervé

Équilibre interne (Partie 2)

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Équilibre interne partie 2

équilibreNous avons parlé très succinctement de l’équilibre interne de notre corps et nous allons maintenant déployer un peu plus dans cette 2ème partie, des focus, des pistes sur lesquelles nous devons porter une attention plus particulièrement. Je vous ai parlé d’un certain équilibre des pH notamment ceux de notre bouche, de notre salive, de notre estomac, de notre matière fécale, c’est à dire les déchets non assimilés et qui sont rejetable par notre corps ou encore de notre absorption quotidienne d’aliments plus ou moins bien équilibrée.

Ce qu’il faut comprendre c’est qu’au delà de notre absorption, notre corps réagi en fonction de ce que nous absorbons. Si nous absorbons des aliments non appropriés à notre tendance du moment, nos préférences, ou encore un aliment frelaté, le corps va se mettre en rejet et tout un changement va s’opérer. Notre corps va se mettre en tension, c’est à dire s’occuper de fabriquer de l’acide pour décomposer le plus vite possible cet aliment. Nos fluides vont être changés, nos fonctionnements digestifs, circulatoires, respiratoires vont se modifier et le système énergétique va se densifier et donc être beaucoup moins en réception que la normale.
Nos humeurs vont se changer et faire naitre de la gêne, de l’agacement, de la réaction, de l’agressivité, de la violence. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce fonctionnement va se mettre en place insidieusement car il sera décalé. De l’absorption à la mise en mouvement du corps, quelques heures voir une à deux journées entières ce sont déjà passées. Et nous sommes tout surpris d’être dans une humeur mitigée ou énervée ou même d’avoir un désordre gastrique ou encore intestinal qui n’a, à priori, aucun rapport avec ce que l’on vient de manger.

Vous souvenez vous de ce que vous avez manger hier au soir ? Il vous faut un peu de réflexion pour la réponse. Ou si votre corps est en dérangement digestif ou un dérangement du colon, vous souvenez vous de votre repas d’hier midi ou encore d’hier matin ou mieux d’avant hier soir ?

Si notre corps est dans un terrain extrême, c’est à dire lorsque nous sommes en réaction à trop d’acide ou en asthénie, manque de vivacité qui peut être provoqué par trop d’alcalinité ou par des fonctionnements bloqués, le temps de réaction de notre corps sera très rapide. Et généralement nous sommes attirés par notre extrême dans l’alimentation.

C’est pour cela que nous devons être vigilants face à ce que nous absorbons, ce que nous ingurgitons, car chaque aliment va porter notre corps soit en acidité, en tension, en rejet, si l’aliment n’est pas acceptable, soit apporter les nutriments contenu dans cet aliment, ce qui est le but recherché.

Vigilance face à l’aliment, mais aussi aux composantes de notre alimentation, mais ce n’est pas tout. Car lorsqu’on parle d’absorption cela veut aussi dire que nous sommes confronté toute la journée à des évènements à des situations, des expériences que nous allons absorber.

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Equilibre interne (partie 1)

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Équilibre Interne

equilibreFemina/Mascula, bien/mal, yin/yang, haut/bas, droite/gauche, heureux/triste, droit/oblique, violent/doux, angulaire/rond, plaisir/tourment, attraction/répulsion….

Chacune de ces polarités, et il y en a bien d’autres, exprime une vibration, une énergie différente qui apporte une différence, qui modifie, la structure même d’un organisme vivant suivant que ces mêmes polarités sont déséquilibrées ou non.

Ainsi ces équilibres régissent tout le fonctionnement dans notre corps humain. Et notre esprit donne la possibilité à ces polarités d’être avantagées ou d’être désavantagées suivant nos choix, nos pensées. Ainsi lorsque nous avons des pensées positives, lorsque nous voyons, nous regardons le monde ou plutôt nous regardons notre quotidien avec plus d’espace, avec plus de discernement, de compréhension, ainsi nos polarités internes s’en trouvent grandement améliorées et équilibrées.

En revanche, lorsque nos pensées se font plus denses, lorsque nos pensées sont plus négatives ou plutôt nos pensées tentent plus vers le « moi je » ou le « moi moi moi » ou encore lorsque les pensées deviennent lourdes, pesantes, fermées, emprunt de vengeances, de calculs etc, alors le chaos des polarités intérieures s’installe et nous obtenons toutes sortes de symptômes de non fluidités, de mauvaise circulation, de mauvais échanges d’informations. Ces altérations sont accentuées non seulement par les expériences non gérées mais aussi par les émotions mal gérées, le stress, la peur etc.

Que cela soit au niveau des fluides, mais aussi de la dynamique de la matière des principaux organes internes, des péritoines, l’équilibre de l’ossature, mais aussi des échanges chimiques internes au corps humain, tout se trouve touché au plus profond de la matière jusqu’au mouvement initiateur, c’est a dire l’intention mais aussi tous les véhicules comme par exemple l’énergie vitale. Je pense également aussi au mouvement de l’équilibre intestinal. Tout cela reflète une fragilité, une faculté d’absorption, de modification, de protection et curieusement une force extraordinaire du comportement de notre corps. Lorsqu’on parle de femina ou de mascula de l’être, ce n’est absolument pas de féminité ou de masculinité dont on parle. Il ne s’agit pas d’être plus féminin ou plus masculin ou, d’être plus droitier que gaucher ou encore plus être dans sa tête que dans son corps ou mieux plus gros que maigre, mais rétablir l’équilibre de notre fonctionnement. Ces notions sont aujourd’hui des très grand malentendus dans notre compréhension car nous avons tendance à focaliser sur un fonctionnement extrême ce qui n’est pas toujours et même bien souvent, le notre.

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Où êtes-vous dans votre corps ?

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Où êtes-vous dans votre corps ?

corpsOccupez votre corps ! Comme cette petite phrase peut être comprise de différentes manières. Il est bien entendu que le verbe occuper, dans ce cas, signifie bien d’y vivre à l’intérieur en conscience et en le ressentant.
Aussi, il est facile de porter son attention dans certaines parties du corps mais parfois, à certains endroits, comme l’intérieur par exemple il est plutôt difficile d’y rester, d’y être, de le sentir, de le ressentir, de le percevoir. Pourtant la pratique de la conscientisation du corps vous permet une existence plus complète et plus aisée lorsqu’elle est journalière.

Rien de compliquer, mais une pratique régulière peut favoriser beaucoup de fonctionnements dans votre corps et, surtout et c’est là le plus intéressant, de faire disparaître beaucoup de dysfonctionnements. Partons du principe que le corps rejette ou plutôt ne fluidifie pas les parties non conscientes, celles que vous oubliez, celle qui vous intéressent moins, celles que vous n’aimez pas particulièrement. C’est à dire et pour prendre exemple qu’en vieillissant nous nous replions sur nous même et donc nous faisons moins attention à notre peau, notre extérieur. Nous avons, pendant des années pour la plupart d’entre nous, été à l’extérieur de notre corps. Lorsque nous portons notre attention sur l’intérieur après bien des années, et bien nous nous apercevons que ce n’est pas très bien entretenu. On va dire que le concierge n’est pas souvent passé. Pour beaucoup, nous avons fumé, quelques fois et même passivement, nous avons consommé des boissons en quantité, nous avons été soumis à des forts bruits pendant longtemps, genre boite de nuit, nous avons fétarder, ne respectant pas notre cycle de sommeil, nous nous sommes mal alimenté, en nourriture, en énergie, en savoir, nous avons vécu des désillusions, des expériences amoureuses plus ou moins douloureuses  etc, etc. Bref, nous n’avons pas pris soin de nous autant émotionnellement que physiquement et encore moins spirituellement. Il est vital que nous devons renouer, non pas avec un vague souvenir de nos capacités, mais surtout avec ce qui est dans l’instant. Notre corps, présentement, avec toutes ses composantes, de la tête au pied en passant par la peau et ce qu’il y a dedans 🙂

Retrouvez une des pratiques =====> la Guidance « Perceptions intérieures » Le Corps (46mn)

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Méditation et voyages ?

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La compagnie voyagerConscience&Voyages vous souhaite bienvenue à bord !

Le processus de la méditation est un processus qui vise à nous faire connaitre notre esprit. Par l’observation, par la vigilance, l’attention et l’espace intérieur. C’est aussi le moyen de faire « revenir » l’esprit en lui même, dans sa demeure. Certes, vous pouvez voyager avec des guidances, des sons, des images ou encore des icônes ceci est fort correct. Mais est-ce que cela favorise votre élévation spirituelle ? C’est à dire est-ce que cela vous fait connaitre mieux votre esprit et le ramène en lui même pour favoriser sa conscience et sa présence en chaque instant de votre quotidien ?

Il y a plusieurs façons et pratiques de ramener son esprit en lui même. C’est ce que les bouddhistes appellent Shamatha (prononcer chamata) ou Shiné pour les Tibétains. Shamatha c’est la pratique pour pauser l’esprit (l’esprit en paix). Il existe Shamatha avec support, avec les sons, les images, les icônes, et même les émotions, les odeurs et pour exemple concret, les guidances qui vous sont proposées sur ce site. Ce sont des pratiques qui vous mènent à pauser votre esprit pour vous accorder de l’espace, de l’attention et de la vigilance, afin que votre esprit se ramène en lui même, dans ce corps qui est le votre et pour développer sa présence et sa pleine conscience de l’instant vécu. Shamatha avec support est un passage parmi tant d’autre certes, non obligatoire mais parfois salutaire lorsqu’on sort un peu des vicissitudes de notre existence ô combien bruyantes et que l’on veut retrouver une connexion avec notre corps et le paisible de notre esprit. Lorsqu’on est habitué avec shamatha avec support et que la relation avec notre véhicule qu’est notre corps, est intime dans tous les instants, alors on peut commencer à pratiquer shamatha sans support.
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Être en conscience. signification.

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Être en conscience. Signification.

pleine-conscienceVous êtes entrain de manger mais votre esprit est aux courses de chevaux dans lesquelles vous avez fait des paris. Vous êtes entrain de manger, mais votre esprit est occupé à parler avec votre interlocuteur. Manger est alors accompli mécaniquement. Vous n’êtes pas conscient que de la nourriture est absorbée.

Vous êtes entrain de conduire mais votre esprit est occupé à la soirée où vous devez aller. Ou encore vous êtes entrain de regarder la télévision et votre esprit se perd dans de nombreuses pensées ou se laisse porté par le brouhaha et le mouvement des images projetées.

Vous êtes assis dans une mosquée ou peut être un temple et vous récitez, tu es mon père, tu es ma mère, tu es mon ami, mon trésor le plus précieux, mais votre esprit et votre œil intérieur sont sur vos chaussures pendant que vous récitez. Parce que les chaussures qu’on laisse à la sortie ou à l’entrée des temples sont souvent volées.

Que faites vous ? Priez vous vraiment ?

Votre attention n’est pas dans l’acte qui est entrain de s’accomplir. La pensée est une activité subtile et raffinée. Ainsi et pour regarder votre esprit afin de le connaitre, de le voir, de l’observer, votre regard intérieur doit devenir aussi raffiné et subtile que votre esprit.

Si vous ne pouvez pas demeurer attentif dans les activités concrètes de votre quotidien, comment serez vous attentif à vos propres pensées ?

Vous devez pratiquer l’attention et la vigilance dans toutes les activités quotidiennes, afin d’être capable d’observer vos pensées qui elles sont subtiles. D’abord, votre pensée ne devrait pas être mécanique. vous avez certainement remarqué que pendant la méditation vous commencez à entretenir même ces pensées que vous ne voulez pas entretenir. Non seulement vous devez être attentif à vos pensées, mais le processus même de la pensée doit s’arrêter.

Vous devez observez vos pensées comme un témoin sans venir s’identifier avec elles, sans saisir le mouvement et les remous (émotions) générés par vos pensées. Avec cette pratique de l’observation, les pensées commenceront à disparaître et ainsi votre subtilité, votre nature véritable, s’éveillera et votre calme intérieur grandira.

Être en conscience, passe par l’observation. Être en conscience, passe par la présence. Vigilance et attention en vous même dans chacun de vos instants.

En conscience et sur le chemin de l’éveil de la conscience

Hervé

(Propos inspirés par Shandra Swamiji)

intégrer

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Intégrer la Vie.mp3
poubelles

Que veut dire intégrer une situation ou encore intégrer la vie, intégrer les mots, les ressentis etc…

L’intégration est un processus visant à nous rendre neutre. C’est à dire que plus aucun mécanisme de l’égo et, ceux sous-jacent tel que le cerveau reptilien et ses dépendances, n’est sollicité ou alimenté.
Ce n’est pas passer dans l’oubli ou encore étouffer « l’affaire gênante » qui nous embête, ou même développer une attention toute particulière avec la peur de retomber dans la systématique et ainsi développer une fuite automatique dès qu’une situation similaire se représente. Ce n’est pas non plus devenir un légume ou encore une machine vide, mais bel et bien de favoriser le deuxième aspect de notre esprit qui est notre nature véritable, notre aspect divin.

L’esprit a deux aspects : Les pensées et les émotions et
la nature véritable, notre nature divine. Philosophie Bouddhique

Aujourd’hui beaucoup de personnes s’évertuent à analyser, décortiquer ou même, travailler sur une certaine partie de l’esprit, celle des émotions et des pensées qui, pour la plupart d’entre nous, est très présente et nous crée beaucoup de problèmes. Il y a tellement de choses à dire que toutes ces personnes révèlent, simplement, la multiplicité de l’être humain face à des réactions, des interprétations de chaque instant. C’est le monstre à 1000 têtes qu’Hercule, dans la mythologie Grecque, veut tuer. Chaque tête coupée repousse instantanément ou parfois même repousse à double. Je ne dis pas de laisser les poubelles nous envahir mais de les reconnaître en tant que poubelles, facteurs obscurcissants, pessimisme ou entraves à notre bonheur. Continuer la lecture

Les vibrations en nous

Nous portons toutes les vibrations en nous !

C’est dans les choix conscients ou inconscients de nos actes, de notre verbe, de nos pensées, qui vont définir que nous allons activer, ou plutôt vivre et mettre en mouvement, les énergies dont nous avons besoin pour vivre ces choix.

Au fil des expériences, des rencontres, des mélanges d’informations de tous types et de toutes parts, nous connectons des possibilités d’expression de descentes d’énergies, d’alchimies nouvelles, dans la matière.
Rendre l’expression possible des perceptions subtiles, que nous détenons dans leur totalité.
Outre les sens, les perceptions subtiles et les dimensions voisines, nous expérimentons sans cesse, ces possibilités. Que cela est possible !

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Energies trop plein !

tropplein“Ces gens qui se défoulent sur les autres”.

Le trop plein d’énergies peut mener à une extériorisation qui peut se traduire de différentes manières. Cela peut aller du repli sur soi, de la peur, de l’émotion mal gérée, en passant par l’extravagance, une humeur changeante d’heure en heure voir de minute en minute provoquer par un mal être un mouvement intérieur qui ne se pose pas, qui ne s’installe pas. Il peut y avoir de la provocation, de l’agacement, de la haine, de la violence, du contrôle, de la manipulation etc, mais aussi peut amener aux bouffées délirantes, montées de kundalini ou tout simplement à la perte de son contrôle ou encore de son pouvoir personnel. Ceci n’est, bien sûr, pas une liste exhaustive. Aussi il faut porter une grande attention sur la justesse de la situation vécue sur le moment présent, sans oublier la justesse de notre perception du moment. il faut pour cela bien se connaître.

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Énergie la perception de l’autre

La perception de l’autre est un peu ardue lorsqu’on cherche à la stabiliser. Normal, il n’y a rien à stabiliser, rien à retenir, à freiner, puisque tout change, tout est mouvement. La perception de l’autre est toujours suivant notre vérité, notre regard. Normal puisque nous vivons au travers de notre filtre mental, de nos 5 sens en superficialité, et ne voyons pas des situations mais bien des problèmes, des pensées et des émotions que nous gérons plus ou moins bien. Ou encore le plus souvent, exprimons de la gêne ou du plaisir, le j’aime, j’aime pas etc… Cela crée notre propre réalité et nous croyons que celle-ci est la réalité de tous les mondes. Et pourtant. Percevoir l’autre, c’est entrer dans l’univers du réel, l’univers du choix conscient, du choix du bien être. L’univers de la micro interrelation, l’infiniment petit et grand de l’inter-échange énergétique. Cet échange subtil, défini un ensemble de paramètres énergétiques qui vont eux mêmes définir le j’aime, j’aime pas, le bien être ou le malaise etc. Car si nous nous connectons à cette “naissance”, ces interstices, c’est toute une maitrise que nous pouvons observer.

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Énergies Obligation de conscience

Pour sortir de nos souffrances créées par la saisie de notre mental nous avons, envers nous même, une obligation de conscience.

Sortir de l’ignorance et passer dans la connaissance de notre être nous confirme que nous avons, non seulement un corps physique avec la complexité de fonctionnement que nous commençons à connaître, mais aussi une multiplicité d’états de faits que nous ne pouvons pas écarter. Les perceptions dans leurs globalités, les 5 sens ainsi que l’intuition directe, puis la perception du monde dans sa globalité et sa simplicité. Les perceptions dans leurs subtilités et leurs énergies, les corps subtils, les structures, les dimensions, les passages multiples ou vortex, les connections intra ou extra humaines, les inter-liaisons énergétiques entre le physique et le subtil, la matière et ses relations cosmique etc.

Exister ! Ce n’est pas seulement combler nos désirs, combler nos peurs, palier à nos manques, mais c’est simplement désamorcer ces processus. Vider notre esprit afin qu’il puisse s’emplir de ce qu’il voit et non pas de ce qu’il interprète. Pour cela, une méthode simple et à la portée de tous, développer nos acuités, nos perceptions de nous même. Plonger dans notre être, au delà de nos infimes parties intimes dans un seul but, révéler notre nature véritable, être enfin et réellement dans un bien être total.

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Énergies Le Lâcher-Prise


Il n’y a pas d’observation de soi, de perception extra ou intra sensorielle sans un lâcher prise.
Mais est-il total, ce lâcher prise ?
Est-ce que l’esprit lâche totalement pour accéder aux perceptions ?

Et bien non. L’esprit d’analyse, l’esprit de comparaison envahi notre espace. Cet esprit va sans arrêt perturber la tranquillité de notre nature véritable, et notre regard se tourne vers l’extérieur et se perd dans nos projections. L’esprit est l’outil de la troisième dimension. C’est cet esprit qui maintien la dualité de qui nous sommes.

C’est pour cela que la méditation est un outil indispensable pour ramener cet esprit “festif”. En résumé, personne n’est chez soi, tout le monde fait la “fête” à l’extérieur de lui même, se perdant dans ses projections. L’esprit est un enfant turbulent qu’il faut apprendre à maîtriser. La méditation est le moyen le plus simple d’en venir à connaître son esprit.

Par la suite, s’il y a la connaissance de cet esprit, nous allons pouvoir mettre en pratique, en action, les moyens suffisants pour le contrôler.
La méditation c’est tout d’abord, tourner votre regard vers l’intérieur. Prenez conscience de votre être physique. Puis asseyez vous pour observer cet être turbulent qu’est votre esprit. Donner lui de l’espace car, pour exemple, s’il on veut contrôler une vache ou un mouton, vous lui donner une vaste prairie verte. Il en est de même pour cet esprit, donner lui de l’espace.

Donc, la première action dans votre méditation est de devenir spacieux afin qu’il n’y est pas de “débordement”. De l’espace vous en avez et il y en a.

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Énergies Les petits nouveaux arrivés

Les Enfants.
Nous sommes sur notre chemin de connaissance, d’expérimentation qui nous semble bien rempli et que nous interprétons parfois comme très long. Puis nous nous posons un peu, là, sur le bord, afin de savourer le chemin parcouru et le savoir acquis. Et nous portons un regard sur ces enfants qui arrivent, que nous allons instruire de notre savoir, de nos pratiques énergétiques, de nos ressentis, de notre intuitions, de nos certitudes, de nos méditations…

Ah que les moments vont être délectables de sentir ces êtres avides de connaissance 🙂
Oui, sauf que ces petits êtres, qui arrivent, sont déjà pourvus, habillés, protégés, connectés, branchés aux énergies que nous avons essayé, pratiqué et connecté pendant tant d’années.

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Énergies intérieures

Il est vrai que nous pensons que tout se passe à l’extérieur de nous. Et nous cherchons toujours le bien être à l’extérieur de notre corps. Et pourtant, tout commence à l’intérieur et dans des parties que l’on ne soupçonne pas. Nous sommes des instruments composés de plusieurs parties qui vibrent à l’unisson.

Reprenons l’exemple de l’horloge chinoise

Chaque organe fonctionne à des horaires différentes. Les vibrations émises par tous les acteurs de notre corps (organes, glandes, Adn, etc.) forme un tout vibratoire qui nous fait être qui nous sommes et ce que nous vibrons à l’intérieur. Chaque partie de notre corps vibre quelque chose suivant ce que nous vivons, ce que nous mangeons, ce que nous ressentons et ce que nous percevons, ce que nous disons et ce que nous pensons. Tous ces éléments forment notre vibration principale. Un peu comme le moteur d’une voiture sur lequel nous focalisons notre attention sur le bruit général et non pas sur chaque bruit que compose le moteur (soupapes, admission, turbo, courroie etc…).

Seul le bon mécanicien automobile saura immédiatement ce qui ne va pas. Ce que je vous propose, c’est de vous donner certains éléments, parfois même des outils, pour (re)devenir votre propre mécanicien et porter votre attention sur les différentes parties de vous même, pour connaître encore mieux votre corps.

Ainsi, vous pourrez connaître aisément les mauvais et les bons fonctionnements. Ceci vous permettra de reprendre votre pouvoir personnel que l’on a tendance à donner un peu trop facilement à l’extérieur et donc à d’autres personnes pas franchement au courant de qui vous êtes, et de ce que vous vivez, ressentez et percevez.

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