On prend pour soi car nous avons moins d’espace intérieur.
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On prend pour soi
… De même que lorsque nous observons nos pensées dans notre esprit, et même sans les observer, simplement en les vivant inconsciemment, nous les considérons comme les nôtres et nos émotions montent, prennent de la place, nous rendant dépendant de nos ballottements intérieurs. Autrement dit, nous ne gérons plus nos émotions et nos pensées, nous les laissons aller comme un bateau à la dérive. Il en va de même lorsque nous communiquons. Par exemple lorsqu’on lit un texte, nous prenons souvent pour soi ce qui est écrit. Que cela soit dans le domaine privé ou professionnel, lorsque nous lisons une présentation de quelqu’un, un commentaire, une simple demande, sans parler des échanges quotidiens que nous avons avec notre famille, nos ami(e)s et d’autres personnes, nous nous posons que très rarement la question : Parle-t-il de lui ou parle t-il de moi. Parle-t-elle d’elle, parle t-elle de moi ? Qu’elle est la situation ? Dans quel contexte est la situation ? Nous ne faisons plus ce recul. Nous ne prenons plus le temps de finir les situations et nous les portons encore très actives en nous même.
Nous prenons pour nous ce qui est écrit, ce que nous voyons et nous réagissons immédiatement à ce qui ne nous plait pas. Nous regardons bien souvent le côté négatif, c’est à dire le côté du manque, se plaçant à la place d’un correcteur, d’un trouveur de faute, d’un redresseur de tort, sans se placer dans le contexte de la situation et sans observer la situation dans tous ces détails.
Normalité
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Normalité
Les personnes veulent généralement devenir d’autres personnes. Nous ne voulons pas accepter la plupart du temps qui nous sommes. Nous voyons l’herbe plus verte chez les autres mais rarement chez nous. Pourtant, quoi de mieux que de voir et ressentir, être présent, lorsque toutes nos capacités s’expriment avec fluidité, s’expriment de l’intérieur vers l’extérieur tout en trouvant leurs places, leur justesse naturelle. De même sur notre environnement, nous croyons que la nature n’est rien ou qu’elle se laisse faire. Mais au contraire la nature est en perpétuels changements, mouvements et dans un rythme bien précis et respectueux de son équilibre.
Voici quelques années en arrière, nous comprenions fortement que le rythme des saisons était nécessaire pour notre survie sur cette planète. Aujourd’hui le temps n’est pas plutôt entré dans l’hiver que nous voulons sortir du printemps. Il n’est pas plutôt arrivé en automne que nous regrettons l’été avec sa chaleur et ses plages. Car nous considérons que la normalité devrait être l’été. Dans tous les cas, ce que nous considérons bien pour nous, devrait être la normalité. Nous ne travaillons plus les mal-êtres, nous ne nous posons pas ou plus les questions pourquoi nous ne sommes pas bien dans telles ou telles situations. Nous accélérons et nous changeons de normalité avec cette accélération, perdant de vue le rythme de chaque chose, la musique de chaque événement et la vibration en toutes choses, nonobstant le fait, que nous nous perdons dans le consumérisme et les compétitions de celui qui va aller le plus vite. Ainsi les situations, les événements que nous vivons au quotidien n’ont pas le temps de se terminer que nous passons à autre chose et de ce fait, bien des énergies, bien des mouvements, bien des situations restent en suspens. (CF article Effets secondaires )
Un centenaire disait que pour vivre longtemps nous devons consommer des aliments de notre région ou de la région où nous sommes nés. Que nous devons boire de l’eau du même endroit d’où nous venons. Si tentés que nous croyons à la réincarnation ou encore à d’autres existences non terrestres, nous venons sur terre avec des énergies bien particulières, des « branchements » très particuliers et des intentions bien précises qui souvent au fil des années s’éloignent de nous ou plutôt, nous pourrions dire que ce sont nos choix qui nous éloignent de nos énergies, nos branchements, nos intentions, car nous ne pratiquons plus ou peu la conscience de ces énergies dont nous sommes pourvus. Nos énergies sont spécifiques à nous et seulement à nous. Lorsque nous absorbons dans notre corps des substances alimentaires ou même de l’émotion (c’est aussi de l’absorption), que nous absorbions par le sensitif ou toutes autres formes d’absorption dont nous disposons et de quelque nature que ce soit, cela perturbe pas forcément en mal, mais cela perturbe, modifie, sensibilise aussi notre stabilité naturelle. Cela modifie nos énergies et notre corps doit faire preuve d’adaptation pour rétablir la fluidité. Nous pourrions dire qu’il y a encore des stimuli, des besoins de notre véhicule, le corps humain, de trouver rapidement une solution à tout ce stress, nous prouvant qu’il est nécessaire d’aller plus vite pour résoudre ces mal-êtres. Et lorsque ces mal-êtres nous paraîtront résolus, alors nous pourrons nous reposer dans notre zone de confort et de bien-être ?
Où est la normalité dans ces cas ? Est-ce la fluidité qui peut nous paraître être un repos, de l’espace, de la tranquillité du fait de cet espace, ou le changement qui nous fait nous adapter à chaque seconde ?
Est-ce nos croyances ou celles des autres qui font que cette normalité est un bien-être ou plutôt une mise en sécurité pour nous ?
Ecouter les silences
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Écouter les silences
Je parlais de silence dans l’article précédent…
Prenons-nous le temps de fouiner, de fouiller, d’effeuiller les couches de notre intérieur ?
Avons-nous pensé à nous arrêter ? Arrêter de bouger, intérieurement et extérieurement ? Arrêter, de nous occuper l’esprit, le corps ?
Arrêter. Nous poser. Nous stopper !
Arrêter, mais vraiment !
Nous arrêter totalement afin d’écouter, de regarder, de sentir notre corps se poser, se détendre, se mettre en pause. Avons-nous seulement et vraiment essayer ne serait-ce qu’une seule fois ?
Juste quelques 10 minutes. Et Aussi, de nous préparer à vivre cet événement de manière à nous donner la possibilité de rassembler tous les éléments nécessaires à ce moment. Éléments qui se composent d’une petite préparation pour que notre corps ne soit pas tenté de s’occuper physiquement par la vue, par le goût, par le touché, etc… Position méditative ou je dirai plutôt position d’observation de notre corps et de notre esprit, assis ou allongé, dans tous les cas une position où nous sommes détendus où nous pouvons nous détendre, pour favoriser le lâcher prise des stimuli extérieurs. Laisser se poser l’esprit, la respiration et le corps avec ses muscles et son système nerveux, et surtout observer notre capacité à voir tout ce qui pourrait être cacher derrière les émotions et les pensées qui pourraient surgir. Ce n’est peut être pas du mouvement d’ailleurs. Observer, non pas juger, mais observer en laissant passer comme une rivière qui coule, tout ce qui pourrait surgir de nous ou qui apparaîtrait à nos sens dans ce très bref instant lorsque nos pensées et nos émotions cessent d’être en mouvement.
Je parle bien d’observation et non pas de stress lié à une attention poussive et extrême. La respiration et la concentration. Être là, présent à soi. C’est pour cela que la pratique de la méditation nous apporte la sérénité suffisante pour ne pas nous laisser aller à un but ou à une attention extrême qui favoriserait la mise en stress dû à une attente d’un événement intérieur, dû à une attente de résultat. Observer son corps est simplement le fait de poser le regard sur les différentes parties de notre corps, pas d’en émettre des émotions à chaque fois que nous rencontrons une partie de notre corps. Encore moins de la modifier, de projeter quelques pensées que ce soit sur elle. Lorsque nous nous plaçons en méditation, nous sommes dans l’observation, pas dans l’action, du mouvement intérieur physique et du mouvement intérieur de notre esprit. Le fait de se poser est réel. Le fait d’observer est réel.
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LES SONS
Le corps est son.
Le placement de la voix, trop haut, trop bas, modifie le corps intérieur. La montée de stress fait monter la voix pour certaines personnes et la fait descendre pour d’autres. Lorsque nous ne sommes pas « bien placés dans notre son » nos organes internes s’en trouvent modifiés. Et lorsque nos organes internes ne sont pas alignés, notre voix se modifie. Notre voix est très importante et reflète notre intérieur. Même notre respiration lorsqu’elle est non maîtrisée et c’est notre intérieur qui s’en trouve modifié.
De même que notre respiration, lorsqu’elle n’est pas guidée par le stress de notre corps, apporte un bien être qui va au delà de ce que nous pouvons imaginer, la voix peut aussi être un vecteur et être un facteur de bien être. Ce n’est pas parce que nous respirons vite que ce n’est pas bon. Et ce n’est pas non plus parce que nous avons une respiration lente que nous allons pouvoir nous débarrasser de notre stress. L’un comme l’autre deviennent un extrême pour notre corps, lorsqu’ils ne conviennent pas au fonctionnement de notre corps. Il en est de même pour la hauteur de notre voix mais aussi pour la puissance de notre voix. Ainsi, poser une écoute sur soi lorsque nous parlons peut nous révéler beaucoup de choses.
Un exercice simple est d’enregistrer notre voix. Les smartphones d’aujourd’hui peuvent être des outils pratiques. Le dictaphone est une application souvent de base sur nos téléphones et il est très facile de le mettre en fonction. Sans smartphone, vous avez de simples enregistreurs dans tous les bons magasins. Enregistrez-vous lors de vos conversations et écoutez-vous bien. Écoutez le niveau de votre voix par rapport aux autres personnes, écoutez le stress dans votre voix mais aussi la douceur, la féminité, la masculinité, la puissance que vous mettez dans votre voix, les mots que vous employez et de quelles manières vous les employez et surtout comment vous les dîtes, comment sont formées vos phrases. Par exemple, est-ce que vous appuyez sur certaines syllabes ? Parlez-vous avec douceur ou au contraire avez vous un ton de voix plutôt directif ? Et dans quel cas votre ton directif ou votre douceur s’exprime ? Ceci peut devenir une mine d’or pour vous et pour votre chemin de compréhension de qui vous êtes. De ce que vous véhiculez comme sensations ou comme énergie, comme vibration… Continuer la lecture
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Bien-Étre pour les nuls
Bon nombre de personnes utilisent le terme BIEN-ÊTRE pour nous vendre les mérites d’un produit, d’un exercice ou encore d’une cure…
Le bien-être est tout d’abord un état.
Cet état dépend de nous, car il s’agit avant tout de nous et de la capacité que nous avons à accepter le bien-être.
Le bien-être ne peut être donné et encore moins acheté, mais bien pratiqué, intégré c’est à dire comprit au quotidien.
Lorsque nous nous offrons une cure, une séance de relaxation, il est bien évident que nous nous offrons, en premier lieu, du temps pour nous. Et c’est déjà le premier pas. Je dirais même plus, c’est la base pour commencer à entrez dans le bien-être. Car le corps est aussi important que l’esprit. Un corps relaxé, bien dans sa peau, fait relâcher l’esprit. Un esprit clair, détendu et en confiance intérieure voit les besoins du corps avec une grande finesse et une grande justesse.
Si le temps que nous prenons pour nous est vraiment bien employé pour nous et uniquement pour nous, alors n’importe quelles séances relaxantes feront l’affaire. Même une séance de relax canapé (sans télé et sans bouquin juste avec soi même).
Et si nous commencions à penser autrement ?
Rester dans cette dynamique voudrait dire que le Bien-Être ne fonctionne qu’avec une situation ou encore un événement extérieur. C’est à dire que cela peut s’acheter, se vendre, se négocier ou simplement dépendre du temps que nous prenons pour nous…
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Équilibre interne partie 2
Nous avons parlé très succinctement de l’équilibre interne de notre corps et nous allons maintenant déployer un peu plus dans cette 2ème partie, des focus, des pistes sur lesquelles nous devons porter une attention plus particulièrement. Je vous ai parlé d’un certain équilibre des pH notamment ceux de notre bouche, de notre salive, de notre estomac, de notre matière fécale, c’est à dire les déchets non assimilés et qui sont rejetable par notre corps ou encore de notre absorption quotidienne d’aliments plus ou moins bien équilibrée.
Ce qu’il faut comprendre c’est qu’au delà de notre absorption, notre corps réagi en fonction de ce que nous absorbons. Si nous absorbons des aliments non appropriés à notre tendance du moment, nos préférences, ou encore un aliment frelaté, le corps va se mettre en rejet et tout un changement va s’opérer. Notre corps va se mettre en tension, c’est à dire s’occuper de fabriquer de l’acide pour décomposer le plus vite possible cet aliment. Nos fluides vont être changés, nos fonctionnements digestifs, circulatoires, respiratoires vont se modifier et le système énergétique va se densifier et donc être beaucoup moins en réception que la normale.
Nos humeurs vont se changer et faire naitre de la gêne, de l’agacement, de la réaction, de l’agressivité, de la violence. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce fonctionnement va se mettre en place insidieusement car il sera décalé. De l’absorption à la mise en mouvement du corps, quelques heures voir une à deux journées entières ce sont déjà passées. Et nous sommes tout surpris d’être dans une humeur mitigée ou énervée ou même d’avoir un désordre gastrique ou encore intestinal qui n’a, à priori, aucun rapport avec ce que l’on vient de manger.
Vous souvenez vous de ce que vous avez manger hier au soir ? Il vous faut un peu de réflexion pour la réponse. Ou si votre corps est en dérangement digestif ou un dérangement du colon, vous souvenez vous de votre repas d’hier midi ou encore d’hier matin ou mieux d’avant hier soir ?
Si notre corps est dans un terrain extrême, c’est à dire lorsque nous sommes en réaction à trop d’acide ou en asthénie, manque de vivacité qui peut être provoqué par trop d’alcalinité ou par des fonctionnements bloqués, le temps de réaction de notre corps sera très rapide. Et généralement nous sommes attirés par notre extrême dans l’alimentation.
C’est pour cela que nous devons être vigilants face à ce que nous absorbons, ce que nous ingurgitons, car chaque aliment va porter notre corps soit en acidité, en tension, en rejet, si l’aliment n’est pas acceptable, soit apporter les nutriments contenu dans cet aliment, ce qui est le but recherché.
Vigilance face à l’aliment, mais aussi aux composantes de notre alimentation, mais ce n’est pas tout. Car lorsqu’on parle d’absorption cela veut aussi dire que nous sommes confronté toute la journée à des évènements à des situations, des expériences que nous allons absorber.
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Équilibre Interne
Femina/Mascula, bien/mal, yin/yang, haut/bas, droite/gauche, heureux/triste, droit/oblique, violent/doux, angulaire/rond, plaisir/tourment, attraction/répulsion….
Chacune de ces polarités, et il y en a bien d’autres, exprime une vibration, une énergie différente qui apporte une différence, qui modifie, la structure même d’un organisme vivant suivant que ces mêmes polarités sont déséquilibrées ou non.
Ainsi ces équilibres régissent tout le fonctionnement dans notre corps humain. Et notre esprit donne la possibilité à ces polarités d’être avantagées ou d’être désavantagées suivant nos choix, nos pensées. Ainsi lorsque nous avons des pensées positives, lorsque nous voyons, nous regardons le monde ou plutôt nous regardons notre quotidien avec plus d’espace, avec plus de discernement, de compréhension, ainsi nos polarités internes s’en trouvent grandement améliorées et équilibrées.
En revanche, lorsque nos pensées se font plus denses, lorsque nos pensées sont plus négatives ou plutôt nos pensées tentent plus vers le « moi je » ou le « moi moi moi » ou encore lorsque les pensées deviennent lourdes, pesantes, fermées, emprunt de vengeances, de calculs etc, alors le chaos des polarités intérieures s’installe et nous obtenons toutes sortes de symptômes de non fluidités, de mauvaise circulation, de mauvais échanges d’informations. Ces altérations sont accentuées non seulement par les expériences non gérées mais aussi par les émotions mal gérées, le stress, la peur etc.
Que cela soit au niveau des fluides, mais aussi de la dynamique de la matière des principaux organes internes, des péritoines, l’équilibre de l’ossature, mais aussi des échanges chimiques internes au corps humain, tout se trouve touché au plus profond de la matière jusqu’au mouvement initiateur, c’est a dire l’intention mais aussi tous les véhicules comme par exemple l’énergie vitale. Je pense également aussi au mouvement de l’équilibre intestinal. Tout cela reflète une fragilité, une faculté d’absorption, de modification, de protection et curieusement une force extraordinaire du comportement de notre corps. Lorsqu’on parle de femina ou de mascula de l’être, ce n’est absolument pas de féminité ou de masculinité dont on parle. Il ne s’agit pas d’être plus féminin ou plus masculin ou, d’être plus droitier que gaucher ou encore plus être dans sa tête que dans son corps ou mieux plus gros que maigre, mais rétablir l’équilibre de notre fonctionnement. Ces notions sont aujourd’hui des très grand malentendus dans notre compréhension car nous avons tendance à focaliser sur un fonctionnement extrême ce qui n’est pas toujours et même bien souvent, le notre.
La perception de l’autre est un peu ardue lorsqu’on cherche à la stabiliser. Normal, il n’y a rien à stabiliser, rien à retenir, à freiner, puisque tout change, tout est mouvement. La perception de l’autre est toujours suivant notre vérité, notre regard. Normal puisque nous vivons au travers de notre filtre mental, de nos 5 sens en superficialité, et ne voyons pas des situations mais bien des problèmes, des pensées et des émotions que nous gérons plus ou moins bien. Ou encore le plus souvent, exprimons de la gêne ou du plaisir, le j’aime, j’aime pas etc… Cela crée notre propre réalité et nous croyons que celle-ci est la réalité de tous les mondes. Et pourtant. Percevoir l’autre, c’est entrer dans l’univers du réel, l’univers du choix conscient, du choix du bien être. L’univers de la micro interrelation, l’infiniment petit et grand de l’inter-échange énergétique. Cet échange subtil, défini un ensemble de paramètres énergétiques qui vont eux mêmes définir le j’aime, j’aime pas, le bien être ou le malaise etc. Car si nous nous connectons à cette “naissance”, ces interstices, c’est toute une maitrise que nous pouvons observer.
Et oui, les pertes de repères sont fréquentes. Qu’elles soient de nature physique (par ex la vieillesse, la maladie…), ou bien mentales (ex:avec les changements de situation rapide, perte de quelque chose que l’on tenait…), ou encore émotionnelle (ex: perte d’un ami ou d’un être cher…), la perte d’un ou de plusieurs repères peuvent nous déstabiliser. C’est souvent le changement brutal qui interfère dans notre quotidien qui vient causer le plus de “dégâts”.
Notre quotidien que l’on a soigneusement temporisé et qui ne respecte plus les variations des situations, du temps et de l’accélération. Afin de garantir la stabilité de notre petit univers, nous mettons quantité de stratagèmes en route et nous prenons bon nombre de ces repères comme acquis. L’embêtant, c’est que ces repères sont pour la plupart instables et nous essayons d’en faire notre permanence quotidienne.