Nature
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Nature
Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…
Mais est-ce là notre véritable nature ?
Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.
Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?
Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine; notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.
La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.
Certes nous ne sommes pas des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain. Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations. En fait il s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées et qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.
Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.
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Guérison
On parle souvent de guérison. Mais qu’est-ce qu’on peut dire sur la guérison ?
Le sujet est vaste.
On défini la guérison généralement par ces mots : Disparition totale des symptômes d’une maladie ou des conséquences d’une blessure avec retour à l’état de santé antérieur.
Pour moi et pour l’instant, il y a quatre pôles fondamentaux pour que la guérison est le plus de chance de s’installer.
La guérison du physique, la guérison de l’esprit, la guérison de l’âme, la guérison de l’intention.
Un corps sain n’est pas forcément un corps sportif. Le sport est un facteur d’épuisement énergétique car bien souvent pratiqué dans la tension et l’excès. Le sport vous permet de faire circuler vos toxines car votre corps est soumis à une accélération de tous les systèmes qui le composent. Encore faut-il, par la suite faire sortir ces toxines. Sinon elle vont se reposer et se re-stocker dans votre corps et parfois même dans des endroits qui n’étaient pas prévus. Un corps sain est avant tout un corps sans stress avec très peu de toxine et surtout c’est un corps relâché avec de l’espace intérieur (Relâcher ne veut pas dire laisser aller) et l’espace intérieur c’est un corps au repos celui dont les mouvements se font dans la fluidité ; la guérison passe par la fluidité. S’il y a absence de fluidité, il y a altération et donc la guérison ne peut avoir lieu ou différemment, la maladie s’installe ou continue son processus.
Affirmer que le corps s’arrête de produire et de se régénérer à 25 ans est faux
Ne jamais oublier : Notre corps parle, notre corps se modifie, notre corps s’auto soigne,
notre corps s’auto régénère de la naissance à la mort.
La perception de l’autre est un peu ardue lorsqu’on cherche à la stabiliser. Normal, il n’y a rien à stabiliser, rien à retenir, à freiner, puisque tout change, tout est mouvement. La perception de l’autre est toujours suivant notre vérité, notre regard. Normal puisque nous vivons au travers de notre filtre mental, de nos 5 sens en superficialité, et ne voyons pas des situations mais bien des problèmes, des pensées et des émotions que nous gérons plus ou moins bien. Ou encore le plus souvent, exprimons de la gêne ou du plaisir, le j’aime, j’aime pas etc… Cela crée notre propre réalité et nous croyons que celle-ci est la réalité de tous les mondes. Et pourtant. Percevoir l’autre, c’est entrer dans l’univers du réel, l’univers du choix conscient, du choix du bien être. L’univers de la micro interrelation, l’infiniment petit et grand de l’inter-échange énergétique. Cet échange subtil, défini un ensemble de paramètres énergétiques qui vont eux mêmes définir le j’aime, j’aime pas, le bien être ou le malaise etc. Car si nous nous connectons à cette “naissance”, ces interstices, c’est toute une maitrise que nous pouvons observer.