vivre

Dimensions

Les dimensions de l’être sont expansibles et visibles en Amour.

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Dimensions

Lorsque l’amour est présent, lorsque le sentiment amoureux est là, toutes nos dimensions sont présentent parce que tout lâche et s’ouvre à la joie, à la liberté et à la fluidité intérieure. Lorsque je parle d’être amoureux, c’est lorsque deux êtres vouaient à être ensemble se rejoignent. Ce sont toutes les structures subtiles, énergétiques mais aussi celle du physique, les dimensions divines, les connections extra sensorielles, qui se décuplent et se connectent.

Ainsi une expansion formidable se crée et l’amour grandit, grandit et encore grandit. La joie s’immisce dans les cellules et c’est tout le corps qui se voit en transformation. Je ne parle pas de sourire bête, je ne parle pas de désir comme on dit au sens animal du terme, je ne parle pas de se laisser décentrer par le processus, mais je parle du sentiment profond d’être à sa place, sans altération du comportement, je parle du sentiment profond d’être cueilli par ces énergies, cueilli par ce flux continuel de joie intense, d’envie de vivre, de fébrilité de joie intérieure, de tremblements intérieurs qui nous fait sauter de joie, je vous parle d’être au rendez-vous de l’instant.

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Être humain

Être humain

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Etre Humain

Un arbre est un arbre jusqu’à ce que l’on dise que ce n’est pas un arbre. Mais par exemple, que c’est une herbe. Du point de vue de notre taille, les arbres peuvent ressembler à un arbre comme nous les connaissons, comme on nous les a décrit. Avec leurs racines qui s’enfoncent dans la terre, leur tronc, leur écorce, leur branches et leur feuillages qui s’élèvent dans le ciel. Mais depuis un avion, nous n’allons voir que de l’étendue verte et la conception même de l’arbre si nous n’avons connu que cet angle de vue, celui du ciel, sera absent de notre regard et sera absent du domaine même de la connaissance de notre esprit. Qu’en est-il de notre condition d’humain ?

Bon nombre de personnes sentent, perçoivent que la condition dont on les nomme ne correspond pas tout à fait à leurs ressentis. Par exemple, certains ressentent qu’ils sont des femmes alors qu’ils sont pourvus d’une enveloppe d’homme. Certaines ressentent qu’elles sont des hommes alors qu’elles sont pourvues d’une enveloppe de femme. Ceci est bien connu de la plupart d’entre nous.

Aussi loin que vous pouvez vous souvenir, n’avez-vous jamais ressenti que vous n’étiez pas ce que l’on disait que vous étiez ? Pas forcément d’un autre sexe mais d’une autre condition. Par exemple que l’enveloppe du corps humain dont nous étions revêtu n’était pas la composante essentielle de notre être. Possible aussi qu’une autre perception est été présente, même une autre compréhension plus vaste de nous même ou peut être plus intérieure de nous même ? Peut être ressentez-vous encore aujourd’hui cette particularité ?

Ces questions ne sont pas là pour vous faire partir vers l’extérieur de vous même, mais bien de pouvoir vous faire toucher/ressentir, poser le regard sur la force qui est en vous, la force qui vous habite et qui compose cette existence qui est la votre sur cette terre où vous habitez. Il ne s’agit pas de faire un voyage et de se prendre pour un extraterrestre mais bien de rester dans vos chaussures, bien dans cette dimension qui est la votre et dont tous nous faisons partie.

Souvent, lorsque nous étions plus jeunes, nous nous sommes confrontés avec ce monde étrange où nous vivons actuellement. Je dis étrange car nous avions à l’époque, parfois pendant quelques mois ou durant des années, nous avions tant de questions à poser aux adultes que les adultes même étaient parfois décontenancés pour trouver une réponse. Ces questions les amenaient sur un chemin de réflexion, de sagesse parfois, avec beaucoup de différence dans la façon de penser de ces adultes. Nous suscitions de la réflexions chez ces mêmes adultes, de l’interrogation et parfois même de l’admiration, car ces paroles, ces commentaires, ces questions que nous posions étaient une mise en réflexion étonnante.

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Les petites morts

Les petites morts

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Les petites morts

Les petites morts sont des schémas qui nous poussent à nous faire croire que nous allons mourir. Parfois consciemment et parfois inconsciemment. Parfois cela relève d’une absence de reconnaissance, d’un manque, que l’on attribue à une absence de vie. Parfois cela vient d’un jugement personnel face à une situation et nous plongeons dans un vide que nous traduisons par une absence de vie. Mais cette reconnaissance, ce manque, ce vide sont fondés par quoi, sur quoi ? le système parental ? le système éducatif ? Le jugement du monde emprunt d’influence familiale et que nous persistons à continuer d’appliquer au fil de nos expériences ?

Je dirai peu importe car un système de reconnaissance basé sur l’extérieur de nous est voué à l’échec et à des blessures si profondes, qu’il pourra être difficile de les voir et/ou de s’en libérer. Difficile ne veut pas dire impossible, mais veut dire qu’une libération pourra être longue. Difficile, jusqu’à ce que nous posions un regard, une conscience sur ce que nous croyions mentalement absurde au premier abord et un peu plus tard, qui prendra le chemin de la libération de ces schémas installés, le temps que la compréhension s’installe. Ces schémas ne nous entraînent pas toujours dans l’extrême, c’est à dire vers ce sentiment de mort ou de vide profond, mais peuvent nous positionner dans une espèce de dépression, de pensées mélancoliques, d’une impression de tourner en rond, d’avoir un petit vélo dans la tête, d’être en prison etc….

Nous apprenons à juger par rapport à ce que cela nous rapporte et nous considérons que si cela ne nous rapporte rien alors il n’y a pas de vie. Nous n’apprenons pas à juger par rapport au besoin de la situation présente. C’est à dire si ce que nous faisons, si ce que nous générons autour de nous est juste et si cela génère du bien être pour nous et autour de nous. Nous n’apprenons pas non plus à regarder et surtout à trouver par nous même, les solutions de notre vie quotidienne. Nous forgeons notre jugement emprunt d’influences mentales, de déductions et tout cela dénué de perception, parfois même dénué d’observation. Tout au plus nous nous essayons dans cette observation accompagnée d’une recherche de solution personnelle au travers du système éducatif, mais pour de courtes périodes et comme outils ponctuels. Trouver ne veut pas dire appliquer un concept, une manière, mais bien de créer notre propre manière, notre propre concept en fonction de ce que l’on perçoit, de ce que l’on pressent, en fonction de nos intuitions et de nos observations et dans le respect des acteurs de la situation, dans le respect de la situation elle même et de sa demande.

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Enseignement du Bien-Être pour les nuls

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Bien-Étre pour les nuls

Bien êtreBon nombre de personnes utilisent le terme BIEN-ÊTRE pour nous vendre les mérites d’un produit, d’un exercice ou encore d’une cure…

Le bien-être est tout d’abord un état.

Cet état dépend de nous, car il s’agit avant tout de nous et de la capacité que nous avons à accepter le bien-être.
Le bien-être ne peut être donné et encore moins acheté, mais bien pratiqué, intégré c’est à dire comprit au quotidien.

Lorsque nous nous offrons une cure, une séance de relaxation, il est bien évident que nous nous offrons, en premier lieu, du temps pour nous. Et c’est déjà le premier pas. Je dirais même plus, c’est la base pour commencer à entrez dans le bien-être. Car le corps est aussi important que l’esprit. Un corps relaxé, bien dans sa peau, fait relâcher l’esprit. Un esprit clair, détendu et en confiance intérieure voit les besoins du corps avec une grande finesse et une grande justesse.

Si le temps que nous prenons pour nous est vraiment bien employé pour nous et uniquement pour nous, alors n’importe quelles séances relaxantes feront l’affaire. Même une séance de relax canapé (sans télé et sans bouquin juste avec soi même).

Et si nous commencions à penser autrement ?
Rester dans cette dynamique voudrait dire que le Bien-Être ne fonctionne qu’avec une situation ou encore un événement extérieur. C’est à dire que cela peut s’acheter, se vendre, se négocier ou simplement dépendre du temps que nous prenons pour nous…

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