bonheur

Le bonheur

Si l’on prend quelques instants et que nous regardons vers notre intérieur ; supprimons toute émotion et toute pensée ;

Respirez profondément et posez-vous les questions suivantes :

Suis-je vraiment heureux-euse ?
Est-ce que mon bonheur ne dépend pas d’événements extérieurs ?
Et si ce bonheur ou ces bonheurs extérieurs cessent, alors serais-je malheureux-euse ?
Si mon bonheur a une dépendance quelle qu’elle soit, alors est-ce vraiment le bonheur ?

Si je ne suis pas heureux-euse, c’est que le bonheur est ailleurs ou c’est que les bases de mon bonheur ne sont pas « solides ».
Car le bonheur qui nous rend heureux-euse naît de l’intérieur de notre être.

L’acceptation de notre être, de nous, l’acceptation de toutes les parties et surtout l’amour de nous même, envers nous-même. Même si nous ne comprenons pas toujours la dualité de notre être, car nous scindons beaucoup de parties comme par exemple l’âme, le corps, l’esprit etc. et parfois même nous dispersons toutes ces parties en plusieurs morceaux, il est profondément un sentiment que nous ne pouvons pas écarter devant ce tumulte intérieur, c’est celui de l’amour, celui de se sentir aimé, celui d’aimer et celui de s’aimer.

Comment voulez-vous être heureux-euse si vous manquez d’amour ?

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La voie

La voie, c’est Le Bouddha, le Dharma et la Sangha

 

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La voie avril 2019

BouddhaLorsque nous envisageons la voie ou le chemin de l’enseignement du Bouddha, c’est ce que l’on appelle le Dharma. Nous avons vu d’ailleurs qu’il y a plusieurs sens à ce mot Dharma et que l’on peut résumer par « prendre refuge » ou de « se protéger ».

C’est à dire nous « réfugier » dans l’enseignement. Et dans le cas de la pratique de la voie, de quoi allons-nous chercher à nous protéger ?
C’est de la souffrance.

C’est cela que nous voulons éviter. La meilleure protection se serait si le Dharma pouvait nous permettre de transcender la souffrance. C’est ce que l’on appelle le Nirvana. Le Nirvana veut dire étymologiquement « ce qui est au-delà de la souffrance », ce qui est au-delà de ce qui nous afflige. Et ce qui nous afflige ce sont précisément ces facteurs mentaux obscurcissant, les « claysha ».

Ce sont les moteurs, ce sont les sources de la souffrance et donc le Nirvana c’est de transcender, de se débarrasser des ces toxines mentales, de ces « claycha ». Et là nous avons vraiment un véritable refuge ultime. C’est pour cela que l’on dit que l’aspect ultime du Dharma c’est le Nirvana, c’est ce qui est au delà des facteurs mentaux obscurcissant et de ce qui nous afflige, la protection ultime à l’égard de la souffrance pour que nous puissions accéder au Samadhi.

Maintenant si on regarde la nature de ce Nirvana, et bien certes, c’est aussi la nature fondamentale de notre esprit, mais ce n’est pas une entité. Le Nirvana n’est pas une entité permanente. Il n’a pas toujours été là comme le résultat d’une connaissance.

Ce n’est pas comme le simple fait d’exister, qui est un fait, c’est la nature des choses, l’existence est là et nous ne pouvons pas la nier et elle n’a pas besoin de justification que le simple fait que le monde des phénomènes existe, tandis que le Nirvana est le résultat d’une transformation.

Il y a là un événement nouveau qui est lié de notre effort de purification, par rapport aux facteurs mentaux obscurcissant, qui ont lié des causes et des conditions. L’accomplissement de ce but, de ce Nirvana, dépend de soi. Cela rentre dans le cadre des quatre nobles vérités.

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La nature des choses et des phénomènes

La nature des choses et des phénomènes

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La nature des choses et des phénomènes

…/… Dans la façon dont nous avons de percevoir les phénomènes, il y a très souvent une différence entre la nature des choses, et comment elles nous apparaissent.

Bien sûr dans certains cas, on voit les choses telles qu’elles sont, mais la plupart du temps nous voyons les choses différemment, c’est-à-dire que la façon dont elles nous apparaissent n’est pas en harmonie ou en accord, n’est pas conforme à leur nature véritable.

On voit très souvent les êtres humains mais aussi les animaux, commettre des erreurs et observer qu’ils prennent une chose pour une autre. Il y a toutes sortes de méprises qui se produisent constamment dans l’existence et qui nous trompent, qui nous induisent en erreur. Ça c’est pour nos perceptions ordinaires, comme de voir une forme et de penser que c’est autre chose et donc ce genre de confusion se produit très souvent. Mais il y en a d’autres qui sont plus subtiles. Par exemple les phénomènes sont impermanent par nature jusqu’au niveau le plus subtile. Aucun phénomène ne peut demeurer identique à lui-même deux instants successifs, ça c’est pour la nature des choses.

La façon dont nous percevons est bien souvent comme quelque chose de permanent. Un objet, nous pensons qu’il existe, qu’il est permanent, qu’il semble solide, alors qu’en fait il change à chaque instant. Donc là il y a de nouveau une non-conformité dans la façon dont les choses nous apparaissent, et la façon dont ces choses sont. Ou encore il y a des choses qui nous semblent très attrayantes, qui nous semblent être source de bonheur, et qui en fait sont source de conflits, de troubles et de tourments. Donc elles nous apparaissent comme étant extrêmement attrayantes alors que leur nature sont en fait sources d’ennuis et de souffrances.

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Les petites morts

Les petites morts

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Les petites morts

Les petites morts sont des schémas qui nous poussent à nous faire croire que nous allons mourir. Parfois consciemment et parfois inconsciemment. Parfois cela relève d’une absence de reconnaissance, d’un manque, que l’on attribue à une absence de vie. Parfois cela vient d’un jugement personnel face à une situation et nous plongeons dans un vide que nous traduisons par une absence de vie. Mais cette reconnaissance, ce manque, ce vide sont fondés par quoi, sur quoi ? le système parental ? le système éducatif ? Le jugement du monde emprunt d’influence familiale et que nous persistons à continuer d’appliquer au fil de nos expériences ?

Je dirai peu importe car un système de reconnaissance basé sur l’extérieur de nous est voué à l’échec et à des blessures si profondes, qu’il pourra être difficile de les voir et/ou de s’en libérer. Difficile ne veut pas dire impossible, mais veut dire qu’une libération pourra être longue. Difficile, jusqu’à ce que nous posions un regard, une conscience sur ce que nous croyions mentalement absurde au premier abord et un peu plus tard, qui prendra le chemin de la libération de ces schémas installés, le temps que la compréhension s’installe. Ces schémas ne nous entraînent pas toujours dans l’extrême, c’est à dire vers ce sentiment de mort ou de vide profond, mais peuvent nous positionner dans une espèce de dépression, de pensées mélancoliques, d’une impression de tourner en rond, d’avoir un petit vélo dans la tête, d’être en prison etc….

Nous apprenons à juger par rapport à ce que cela nous rapporte et nous considérons que si cela ne nous rapporte rien alors il n’y a pas de vie. Nous n’apprenons pas à juger par rapport au besoin de la situation présente. C’est à dire si ce que nous faisons, si ce que nous générons autour de nous est juste et si cela génère du bien être pour nous et autour de nous. Nous n’apprenons pas non plus à regarder et surtout à trouver par nous même, les solutions de notre vie quotidienne. Nous forgeons notre jugement emprunt d’influences mentales, de déductions et tout cela dénué de perception, parfois même dénué d’observation. Tout au plus nous nous essayons dans cette observation accompagnée d’une recherche de solution personnelle au travers du système éducatif, mais pour de courtes périodes et comme outils ponctuels. Trouver ne veut pas dire appliquer un concept, une manière, mais bien de créer notre propre manière, notre propre concept en fonction de ce que l’on perçoit, de ce que l’on pressent, en fonction de nos intuitions et de nos observations et dans le respect des acteurs de la situation, dans le respect de la situation elle même et de sa demande.

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Le propre de l’humain

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Le propre de l’humain

Est-ce que le sérieux, la raison, le mental sont les propres de l’homme ?
Visiblement non.

Car lorsque les êtres, que nous sommes, expriment avec une grande volonté leur amour, tout s’envole !
Alors lorsque tout s’envole…
Est-ce un manque de maturité ?
Est-ce un manque de clarté ?
Est-ce un manque de présence ?

Je ne le crois pas. Ce que je crois, c’est que l’amour est le propre de notre être et le fait de l’exprimer nous rend heureux. Ici, pas de mental, pas de raison, pas de sérieux. Lorsque nous sommes submergés par l’amour, le premier réflexe est de nous dire : « aie aie aie, je ne suis plus moi-même. » et/ou « … je risque de me perdre… »
Au fond, nous avons peur d’être heureux car c’est l’inconnu. En fait, nous n’apprenons pas à être heureux. Nous n’avons pas de classe de bonheur dans notre système scolaire. On nous dit même que le bonheur est à l’extérieur de nous, comme quelque chose à attraper, à gagner. On arrive même à penser que le bonheur est une difficulté dans notre vie. Qu’il faut se battre pour l’obtenir.

Le bonheur se vit !
Comme le bien-être se vit, le bonheur se vit.

Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin. Bouddha

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La Guérison

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Guérison

corpsOn parle souvent de guérison. Mais qu’est-ce qu’on peut dire sur la guérison ?
Le sujet est vaste.

On défini la guérison généralement par ces mots : Disparition totale des symptômes d’une maladie ou des conséquences d’une blessure avec retour à l’état de santé antérieur.

Pour moi et pour l’instant, il y a quatre pôles fondamentaux pour que la guérison est le plus de chance de s’installer.

La guérison du physique, la guérison de l’esprit, la guérison de l’âme, la guérison de l’intention.

 

La Guérison du corps physique :

Un corps sain n’est pas forcément un corps sportif. Le sport est un facteur d’épuisement énergétique car bien souvent pratiqué dans la tension et l’excès. Le sport vous permet de faire circuler vos toxines car votre corps est soumis à une accélération de tous les systèmes qui le composent. Encore faut-il, par la suite faire sortir ces toxines. Sinon elle vont se reposer et se re-stocker dans votre corps et parfois même dans des endroits qui n’étaient pas prévus. Un corps sain est avant tout un corps sans stress avec très peu de toxine et surtout c’est un corps relâché avec de l’espace intérieur (Relâcher ne veut pas dire laisser aller) et l’espace intérieur c’est un corps au repos celui dont les mouvements se font dans la fluidité ; la guérison passe par la fluidité. S’il y a absence de fluidité, il y a altération et donc la guérison ne peut avoir lieu ou différemment, la maladie s’installe ou continue son processus.

Affirmer que le corps s’arrête de produire et de se régénérer à 25 ans est faux

Ne jamais oublier : Notre corps parle, notre corps se modifie, notre corps s’auto soigne,
notre corps s’auto régénère de la naissance à la mort.

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Peur de bien faire ou recherche d’évolution

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Peur de Bien faire

evolutionSouvent nous faisons des choses sans que nous sachions ce qui nous conduit profondément. La peur de bien faire est assez subtile dans notre choix d’appréhender les situations. Même dans nos choix de nous faire plaisir, de nous offrir une certaine tendresse et aussi dans le choix de notre partenaire.
Vouloir bien faire est tout à fait légitime mais vouloir, par le simple fait d’avoir peur de mal faire et de perdre une certaine reconnaissance extérieure, de perdre une certaine puissance, de perdre une certaine assise sociale, peuvent nous conduire dans des mal-êtres souvent inconscients.

Pour chaque situation nouvelle, je me pose la question :

« Qu’est-ce qui me conduit, me dynamise, me guide, là maintenant ?
L’apprentissage, l’ouverture, la curiosité, le bien être, la fluidité, la sérénité
ou le besoin d’être au top, le besoin de bien faire, le besoin de montrer, de faire voir ? »

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Enseignement du Bien-Être pour les nuls

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Bien-Étre pour les nuls

Bien êtreBon nombre de personnes utilisent le terme BIEN-ÊTRE pour nous vendre les mérites d’un produit, d’un exercice ou encore d’une cure…

Le bien-être est tout d’abord un état.

Cet état dépend de nous, car il s’agit avant tout de nous et de la capacité que nous avons à accepter le bien-être.
Le bien-être ne peut être donné et encore moins acheté, mais bien pratiqué, intégré c’est à dire comprit au quotidien.

Lorsque nous nous offrons une cure, une séance de relaxation, il est bien évident que nous nous offrons, en premier lieu, du temps pour nous. Et c’est déjà le premier pas. Je dirais même plus, c’est la base pour commencer à entrez dans le bien-être. Car le corps est aussi important que l’esprit. Un corps relaxé, bien dans sa peau, fait relâcher l’esprit. Un esprit clair, détendu et en confiance intérieure voit les besoins du corps avec une grande finesse et une grande justesse.

Si le temps que nous prenons pour nous est vraiment bien employé pour nous et uniquement pour nous, alors n’importe quelles séances relaxantes feront l’affaire. Même une séance de relax canapé (sans télé et sans bouquin juste avec soi même).

Et si nous commencions à penser autrement ?
Rester dans cette dynamique voudrait dire que le Bien-Être ne fonctionne qu’avec une situation ou encore un événement extérieur. C’est à dire que cela peut s’acheter, se vendre, se négocier ou simplement dépendre du temps que nous prenons pour nous…

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Centrage/Décentrage…

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Centrage-Décentrage.mp3

Le décentrage est une pratique inconsciente et très courante. Nous voulons tous accéder à des situations de rêves, des postes importants, d’accéder au pouvoir et même d’asservir les autres en leur marchant sur la gueule… sans nous soucier de ce qui nous correspond réellement. Aussi nous errons dans un décentrage presque quotidien, nous errons non seulement dans des métiers qui ne sont pas fait pour nous mais aussi dans des systèmes de pensés qui ne nous permettent pas d’évoluer ou de grandir en accord avec qui nous sommes réellement. Nous nous fatiguons à vouloir absolument et ce, jusqu’à la « mort » de soi ou pire jusqu’à la mort de l’autre, accepter que ce que nous croyons est la réalité et que nous allons pouvoir le vivre. Dans ces conditions, ce n’est pas si simple que cela d’avancer vers la fluidité et surtout le bonheur.
Alors nous pouvons utiliser toutes formes de masquage et autres pratiques tentant à nous faire croire que tout est possible d’un point de vue de notre vision et de nos aspirations ou plutôt de l’idée que nous nous faisons de nous ou encore de faire preuve de persuasion d’un état autre que celui qui est réellement en nous. Le décentrage perdurera inexorablement tant que notre vision ne sera pas claire.

Certes, utiliser une pratique comme les programmations neuronales, la PNL ou une forme hypnose pour ne citer que ceux-là dans le but d’un déblocage en accompagnement thérapeutique est tout à fait juste si tenté que ces pratiques correspondent à notre potentiel. Et normalement le thérapeute avéré est à même de voir si cela nous sert ou si cela nous dessert. Forcer une pratique, une idée, une réflexion n’a jamais mené à la fluidité, à l’amour et au bonheur.

Augmenter votre potentiel !
Développez votre personnalité !
Devenez plus performant !

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Méditation et voyages ?

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Méditation Voyages.mp3

La compagnie voyagerConscience&Voyages vous souhaite bienvenue à bord !

Le processus de la méditation est un processus qui vise à nous faire connaitre notre esprit. Par l’observation, par la vigilance, l’attention et l’espace intérieur. C’est aussi le moyen de faire « revenir » l’esprit en lui même, dans sa demeure. Certes, vous pouvez voyager avec des guidances, des sons, des images ou encore des icônes ceci est fort correct. Mais est-ce que cela favorise votre élévation spirituelle ? C’est à dire est-ce que cela vous fait connaitre mieux votre esprit et le ramène en lui même pour favoriser sa conscience et sa présence en chaque instant de votre quotidien ?

Il y a plusieurs façons et pratiques de ramener son esprit en lui même. C’est ce que les bouddhistes appellent Shamatha (prononcer chamata) ou Shiné pour les Tibétains. Shamatha c’est la pratique pour pauser l’esprit (l’esprit en paix). Il existe Shamatha avec support, avec les sons, les images, les icônes, et même les émotions, les odeurs et pour exemple concret, les guidances qui vous sont proposées sur ce site. Ce sont des pratiques qui vous mènent à pauser votre esprit pour vous accorder de l’espace, de l’attention et de la vigilance, afin que votre esprit se ramène en lui même, dans ce corps qui est le votre et pour développer sa présence et sa pleine conscience de l’instant vécu. Shamatha avec support est un passage parmi tant d’autre certes, non obligatoire mais parfois salutaire lorsqu’on sort un peu des vicissitudes de notre existence ô combien bruyantes et que l’on veut retrouver une connexion avec notre corps et le paisible de notre esprit. Lorsqu’on est habitué avec shamatha avec support et que la relation avec notre véhicule qu’est notre corps, est intime dans tous les instants, alors on peut commencer à pratiquer shamatha sans support.
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A coeur ouvert !

A cœur ouvert !

Nous nous sommes entêtés à nous protéger des actions extérieure.
Tout d’abord par le schéma parental qui nous inculque que tout ce qui est étranger n’est pas bon. La notion du clan, de la famille, l’appartenance aux valeurs nous pousse dans un cercle plus ou moins restreint.
Résultat: nous essayons, mais nous ne faisons pratiquement jamais

Le système scolaire qui nous nivèle dans une systématique d’apprentissage par le mental, la société qui tente à perdurer cette systématique, bref. Tout ceci ne nous apprend pas à développer nos acuités, nos possibilités à accueillir, à ressentir, à vibrer, à aimer, à apprécier…. la justesse en soi.

Rare sont les moments où nous pouvons nous centrer, ou plutôt rares sont les moments où il y a quelqu’un qui nous écoute parler de nous. Généralement ce sont tout au plus des personnes de même âge, des copines, des copains, des cousines, des cousins, des sœurs, des frères… Le schéma parental n’offre actuellement que rarement cette possibilité. Le schéma social très peu. Nous nous retrouvons un peu comme des billes de flipper ballotées, cassées, déchirées cherchant un peu de lumière en quelques personnes, quelques lieux….nous voulons voyager, nous voulons faire la fête pour oublier, pour nous oublier !
Nous foutons le camp ailleurs parce que chez nous… on ne connait pas vraiment.

Après cet étalage de négation, il est important de connaître que toutes les possibilités s’offrent à nous.
Toutes les possibilités !
Tous les outils, la chance, la lucidité, la beauté, le charisme, l’AMOUR et bien d’autres, sont en nous. C’est dans ces états que la réussite nous prend, nous enveloppe dans son manteau et nous accompagne.
OUI nous sommes capables !
OUI nous avons en nous toutes les capacités nécessaires pour arriver à percer le secret, qui n’en est pas un, de notre intérieur.

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