Les dimensions de l’être sont expansibles et visibles en Amour.
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Dimensions
Lorsque l’amour est présent, lorsque le sentiment amoureux est là, toutes nos dimensions sont présentent parce que tout lâche et s’ouvre à la joie, à la liberté et à la fluidité intérieure. Lorsque je parle d’être amoureux, c’est lorsque deux êtres vouaient à être ensemble se rejoignent. Ce sont toutes les structures subtiles, énergétiques mais aussi celle du physique, les dimensions divines, les connections extra sensorielles, qui se décuplent et se connectent.
Ainsi une expansion formidable se crée et l’amour grandit, grandit et encore grandit. La joie s’immisce dans les cellules et c’est tout le corps qui se voit en transformation. Je ne parle pas de sourire bête, je ne parle pas de désir comme on dit au sens animal du terme, je ne parle pas de se laisser décentrer par le processus, mais je parle du sentiment profond d’être à sa place, sans altération du comportement, je parle du sentiment profond d’être cueilli par ces énergies, cueilli par ce flux continuel de joie intense, d’envie de vivre, de fébrilité de joie intérieure, de tremblements intérieurs qui nous fait sauter de joie, je vous parle d’être au rendez-vous de l’instant.
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Le propre de l’humain
Est-ce que le sérieux, la raison, le mental sont les propres de l’homme ?
Visiblement non.
Car lorsque les êtres, que nous sommes, expriment avec une grande volonté leur amour, tout s’envole !
Alors lorsque tout s’envole…
Est-ce un manque de maturité ?
Est-ce un manque de clarté ?
Est-ce un manque de présence ?
Je ne le crois pas. Ce que je crois, c’est que l’amour est le propre de notre être et le fait de l’exprimer nous rend heureux. Ici, pas de mental, pas de raison, pas de sérieux. Lorsque nous sommes submergés par l’amour, le premier réflexe est de nous dire : « aie aie aie, je ne suis plus moi-même. » et/ou « … je risque de me perdre… »
Au fond, nous avons peur d’être heureux car c’est l’inconnu. En fait, nous n’apprenons pas à être heureux. Nous n’avons pas de classe de bonheur dans notre système scolaire. On nous dit même que le bonheur est à l’extérieur de nous, comme quelque chose à attraper, à gagner. On arrive même à penser que le bonheur est une difficulté dans notre vie. Qu’il faut se battre pour l’obtenir.
Le bonheur se vit !
Comme le bien-être se vit, le bonheur se vit.
Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin. Bouddha
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L’autre dans notre intimité 2
…Si nous continuons dans la rencontre avec l’autre et si bien-sûr nous allons jusqu’au physique, il est bien évident que d’autres paramètres vont émergés. Je parlais de confiance dans l’article partie 1, car elle est primordial dans une relation pour que l’on soit pleinement ouvert, pleinement dans l’écoute et surtout pleinement en phase et en parfaite harmonie intérieure. Je parle bien entendu de la confiance en soi et non pas de la confiance dans l’autre. Car si tel est le cas, la confiance est placé dans l’autre, il s’agit là d’une confiance conditionnelle et donc qui sera instable puisque liée à l’autre, et les gestes, nos gestes, et nos verbes s’en ressentiront. Si nous sommes confiant en nous même de ce que nous disons, de ce que nous faisons (non pas par rapport à l’autre mais bien pour nous) et de ce que nous pensons, alors l’autre pourra ce faire confiance. C’est donc par ce que nous sommes, par qui nous sommes et non ce que nous donnons à l’autre qui le placera dans sa confiance. Dans tous les cas il ou elle aura la possibilité de se faire confiance.
Parallèle avec une histoire fort connue. Lorsque nous donnons à quelqu’un du poisson pour manger, il deviendra dépendant. C’est lorsque nous lui montrons comment pêcher qu’il pourra trouver sa liberté. Avec la confiance c’est pareil. Encore faut-il que la personne soit désireuse d’entrer dans cette dynamique de vie et c’est là, que je vous parlais d’attention envers nous même et les autres, dans nos relations qu’elles soient amicales ou amoureuses.
D’autre part, et si nous « jouons » un jeu avec l’autre, alors nous nous retrouverons dans ce que nous avons créé. C’est à dire, des règles de jeu, des mauvais joueurs, des tricheurs, des voleurs, des passes de droits, des mielleux, des séducteurs, des pleurnicheurs, des acteurs, des spectateurs, des profiteurs, des clowns etc, et mêlé avec toutes ces faussent personnes, ces faux personnages, dans la rareté des moments de notre existence, nous pourrons croiser de vrais cœurs, des personnes sincères et honnêtes avec elles-même et proche du cœur même de la vie. Mais aurons-nous la faculté de les voir, de les reconnaître dans tous ce fatras ?
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L’autre dans notre intimite 1
On ne prend plus le temps. Nous sommes devenus des consommateurs de tout. Lorsque nous avons un compagnon ou une compagne nous devenons parfois même consommateur de l’autre.
Il y a quelques temps, j’ai entendu dire qu’une personne âgée avait dit : « De mon temps, nous réparions ce qui était cassé ou abimé. Aujourd’hui nous ne réparons plus, nous jetons ».
C’est valable aussi bien dans notre consommation quotidienne que dans nos relations. Lorsque quelque chose ne va pas, on le change. Et la dualité c’est que plus nous vieillissons, plus nous prenons de l’âge, plus le désir de changer les partie non matérielle, spirituelle s’éloignent, pour devenir un désir de changement matériel puis, plus aucun changement. Notre évolution ne présente plus d’intérêt ou plutôt notre évolution se cantonne à avoir, à posséder et à utiliser. Nous nous encroutons dans l’idée que de toute manière nous ne sommes pas seul puisque nous sommes accompagnés, que nous avons un confort et puis finalement, on se dit que ce confort est pas mal du tout. Nous créons donc une zone de confort dans laquelle nous nous complaisons. Autant de situations que nous procrastinons. Mais ce n’est pas comme cela, que nous résolvons notre mal être ou, que nous prenons conscience que nous ne sommes pas à notre réelle place ou encore que la personne qui partage notre quotidien ne favorise pas ou empêche notre liberté, notre évolution ou encore notre espace et notre place. Dans tous les cas, il manque quelque chose pour parfaire à notre bonheur, pour parfaire à notre quiétude intérieure.
Il faut savoir que comme pour toutes les situations mal gérées, ces situations perdurent énergétiquement, c’est à dire que l’information, l’intention subtile est toujours présente dans notre corps et va maintenir les tensions à leur maximum tant que la compréhension ne se fera pas. Compréhension au niveau de l’esprit mais aussi compréhension au niveau vibratoire, c’est à dire au niveau subtile. Après on s’étonne que des personnes fassent des cancers, des infarctus… Non non, ces faits ne sont pas toujours liés à l’alimentation. L’alimentation fait partie des facteurs aggravants parfois même révélateurs. La cause étant que la situation ou le schéma est mal géré dès le départ, et notre corps en porte les stigmates invisibles au départ, mais rendu visible par le temps. Les rides, les déformations de certaines parties du corps, sinon dans sa totalité, le caractère de la personne et aussi l’intérieur du corps avec sa fluidité, son absorption, sa digestion, sa circulation etc. Tout se modifie, tout se transforme selon la stabilité plus ou moins prononcée de notre esprit et de se fait de notre corps.
Si nous rentrons un peu plus loin dans la perception de l’autre, du conjoint, nous nous rendrons compte que nous allons découvrir énormément d’information le ou la concernant mais aussi nous concernant. Le but étant de rester vigilant par rapport à nous, dans la conscience de qui nous sommes et de ce qui est bon pour notre corps, notre esprit, notre âme et notre intention.
Mais sommes-nous toujours en phase avec cela en étant accompagnés ? Sommes-nous toujours en phase avec notre bien aimé(e) ?