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Le regard 2 Système Nerveux.mp3
Le système nerveux est très intéressant. Car il y a trois parties bien distinctes.
1- Le cortex cérébral avec son liquide céphalo-rachidien ainsi que les glandes qui y sont rattachées (la pinéale et la pituitaire).
2- Le système nerveux dans tous le corps et ses ramifications et,
3- la dernière partie, bien présente, de la colonne vertébrale.
Je ne vais pas rentrer dans les supers détails car les connexions et les émanations sont différentes pour chacune des personnes et de ce fait la perception varie mais peut paraître en général un peu métallique pour le liquide céphalo-rachidien. Même chose pour la partie de la colonne vertébrale qui est additionnée de chaleur, de douceur. Le liquide contenu dans les nerfs contient de l’énergie d’eau, de l’énergie de métal et, dès qu’il y a une interaction avec l’extérieur, un objet, un biologique ou un énergétique, le système s’accélère, s’électrise. Les parties du corps concernées deviennent attentives aux moindres variations subtiles et les transmettent à notre compréhension.
Je peux vous dire que ce système peut percevoir des variations à des kilomètres. Oui oui, vous me lisez bien, des kilomètres. Mais ce n’est pas le seul récepteur. A noter que ce n’est pas parce que vous allez être énervé ou innervé que cela va décupler votre système nerveux, bien au contraire. Le système nerveux circulant, additionné de conscience, de présence, de détente et de réceptivité, devient une formidable antenne à informations. Tous les sens, les mouvements de la vie sont reçus et transmis dans la forme la plus facile à recevoir pour le récepteur. Si j’ai une tendance à être visuel, mon système va me faire parvenir des images. Au même titre que si je suis olfactif, j’aurais d’abord l’information d’une odeur puis, le reste des autres sens, des autres mouvements va venir un peu plus lentement, mais me sera présenté. Continuer la lecture
Au cours de notre vie nous nous attachons à toutes les choses, les êtres et les événements qui se présentent à nous, que nous vivons, expérimentons à chaque instant. Mais comment notre esprit et nos énergies travaillent dans ces attachements ?
Notre esprit, tout d’abord. Emprunt de plusieurs parties, la partie incarnée ou ce que j’appelle les outils du mental, les émotions et les pensées, et la partie divine, notre nature véritable. Un esprit non calmé, non dompté ou encore non conquis, voit submerger la partie de nature véritable par ses pensées et ses émotions que l’on pourrait appeler mental ou égo. Ainsi sur chaque rencontre de choses, d’êtres ou d’évènements, l’esprit va poser des repères de sens (voir, toucher, sentir, gouter et écouter) ainsi que des repères d’émotions et de pensées.
Après ce court intermède mental qui peut être notre recherche actuelle, celle de ce moment ou vous avez cliqué.. revenons à l’énergie, et entrons maintenant dans une des couches plus subtile de l’être vivant, l’être humain. J’ai choisi l’être humain parce qu’il est très intéressant de part sa multitude de couches, multitude de niveau, multitude de connexions multidimensionnelle ; bref, l’être humain est une machine multi…pass, complexe, une machine fabuleuse.
Une machine extraordinaire parce qu’elle se connecte à de multiples endroits. Ces endroits peuvent être tout simplement la terre dans sa globalité ou, la terre dans ces parties infimes (sons, couleurs, vibration, densité, noyau…). Ainsi, le corps humain peut également prendre source dans des couches moins denses, de plus en plus éthérées, aux vibrations complètement différentes de celles que nous connaissons, puisant la vie dans des densités planétaires de notre système solaire ou plutôt extraterrestre, ou encore dans des dimensions inconnues ou la partie divine de l’être puise son évolution, sa stabilisation, pour la troisième dimension.
Car je vous le rappelle, notre corps est toujours ancré dans la troisième dimension. Notre enracinement fait toujours partie de cette densité ainsi que nos ancrages qui, ses derniers, tentent à se modifier depuis quelques années maintenant. C’est ainsi, qu’en agissant sur les ancrages, nous pouvons retrouver le “qui nous sommes”. Reconnecter la personne à qui elle est.