La fin d’une histoire ça n’existe pas.
il y a seulement un moment où on quitte le récit.
Prenez conscience que votre vie c’est votre histoire. Tout est votre histoire.
Pendant 50 ans de ma vie j’ai passé le temps à courir après le bonheur, la reconnaissance, les plaisirs, l’amour, les gens, l’argent et j’étais finalement triste. Je n’ai surtout rien trouvé de semblable. Tout au plus des avants goûts, des miettes de toutes ces croyances. Dans tous les cas, beaucoup d’énergie a été dépensée pour finalement m’épuiser.
Aujourd’hui, je me suis arrêté et je pense que j’ai une forme de bonheur qui naît en moi. Je me sens plus léger, de moins en moins attaché. Mais il suffit parfois de le dire, pour que la vie vous rappelle à la vigilance de ce à quoi vous croyez être éloigné.
Vous ne pouvez pas savoir aujourd’hui ce que vous deviendrez.
N’essayez pas de tout maîtriser. Laissez-vous porter. C’est là, que ça devient intéressant si vous conservez votre esprit clair.
Oh je sais, je peux encore à tout moment me laisser prendre par les tourments de la vie.
Mais il y a tant à toucher, à percevoir, à ressentir, à observer, à regarder, à écouter et à se laisser cueillir.
N’essayez pas d’aller chercher, laisser venir et observez.
Si la vie vous montre quelque chose, quelqu’un, un lieu, un moment, un instant et, que vous vous sentez appelé, alors faites du mieux que vous pouvez.
Parce que comme je l’ai entendu un jour, le temps est un présent éternel.
Devant toutes les agitations de cette période, ô combien tourmentée, ô combien violente et ô combien stressante, il n’est pas seulement de se questionner par rapport à de telles ou telles décisions qui sont prises, mais en tant que parents, en tant que citoyens, en tant qu’humains, en tant que personnes, nous devons nous questionner de comment une ou plusieurs personnes peuvent arriver à penser de telles choses !
Il y a toujours eu des moutons pour mettre en oeuvre n’importe quelles pensées. Du moment que ces personnes se sentent utiles, peu importe l’idée ou le déroulement. Du moment qu’il y a un job à faire, une rémunération quelconque à gagner, le but est à atteindre n’est-ce pas ?
Pourvu qu’il y est un but, quelque chose, un mouvement bien ou mal, peu importe, l’important est entrer dans l’histoire ou entrer dans la reconnaissance.
Je leur dirai : « Combien de temps avez-vous passé à dire des phrases que vous ne pensiez pas ?
Combien de mots, de phrases avez-vous dites, combien d’heure avez-vous passé pour duper les gens, pour arranger la réalité, pour détourner les attentions, pour votre profit personnel et pour votre reconnaissance personnelle ?
Votre conscience était-elle paisible après cela ? »
Comment un enfant, notre enfant, peut en arriver à ne plus faire la distinction entre le bien et le mal ?
Comment notre enfant peut arriver à penser à asservir les autres ?
Comment notre enfant peut arriver à ne serait-ce que penser de prendre pour cobaye une population entière, un pays entier ?
Comment notre enfant peut-il arriver à manipuler d’autres personnes pour voler ou détourner toutes les richesses d’autres personnes ou encore celles d’un pays ?
Comment nos enfants peuvent-ils arriver à penser de supprimer toute forme de liberté en commençant par la parole, puis par la liberté physique, pour finir par la liberté intime ?
Vous, parents ou amis de personnes qui ont ces responsabilités, où êtes-vous ?
Que pensez-vous de tout cela ?
Êtes-vous fiers de vos enfants ?
Notre devoir de conscience est là !
Celui de veiller à ce que nos enfants soient le plus respectueux envers les autres, et que nous aussi fassions preuve de respect envers les autres.
Ne croyez vous pas qu’il est temps de remettre en question l’éducation dans nos familles ?
Ne croyez-vous pas qu’il est temps de changer la méthode d’instruction dans les écoles ?
Ne croyez-vous pas qu’il est temps d’arrêter l’oisiveté sur des questions importantes et que nous devons êtres consultés pour ces questions ?
Ne croyez-vous pas que notre système d’élection doit être remis en question rapidement et dans sa totalité ?
Il s’agit de vous, de nous, de notre bien-être, de notre existence, de notre liberté, de notre vie.
Jadis, bien des peuples ont tué pour Dieu. Bien des peuples ont tué pour leur président ou leur roi. Bien des peuples ont tué pour la liberté. Mais aucun peuple n’a tué pour notre bien être. Aucun peuple n’a enfermé pour notre bien-être, du moins pour l’instant. Il nous en revient un devoir de conscience d’être en vigilance à qui nous donnons les clés de notre pays.
Une personne avec de multiples responsabilités, (maires, députés, sénateurs, ministres, présidents) pour qui l’on « vote », n’est pas dans un show télévisé. Cette personne doit s’occuper de notre bien-être, doit s’occuper de la gestion de nos finances. Peut importe qu’elle soit bleue grise verte ou jaune, mais cette personne doit effectuer un réel travail dans le respect de tous citoyens dans le respect du peuple. Cette personne doit être prévenante et ne penser qu’à la prévenance et le respect de ses citoyens.
Le peuple doit donc embaucher une personne et non « voter » pour elle. Encore une fois nous ne sommes pas dans une émission de télévision. Le peuple doit embaucher une personne qui sera garante du bien-être des citoyens et des finances.
Sans quoi il y aura toujours des intérêts personnels, des bélligérances et des égos démesurés mais un clan de petits copains qui ont la même mesure que celui qui a le pouvoir.
Le devoir de conscience c’est de poser un regard neutre sur les choses. De pouvoir mettre en œuvre une sagesse personnelle puis collective et d’écarter toutes formes de dérives, de malversation au sein même des décisionnaires.
Ceci requiert bien entendu un changement presque total de ce qui s’est mis en place depuis maintenant 80 ans. La personne ou les personnes qui œuvreront pour le bien du pays devront faire preuve de maturité, de réflexion, d’expérience, de connaissance ainsi que de sagesse.
En tant que parents ce sont ces qualités que nous devons veiller à apprendre à nos enfants.
Conjointement avec les écoles dont dépend l’instruction, la famille est là pour éduquer les enfants, en s’approchant le plus possible du respect des autres dont doit faire preuve chaque individu.
Bien à vous
Hervé
Lesintuitions.com
lesénergies.fr
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Laisser aller Octobre 2020
Se laisser aller aux paroles, se laisser aller aux gestes, se laisser aller aux émotions aux actions. Laisser aller les pensées, se laisser aller vers une augmentation des pensées, se laisser aller à sortir de votre corps, se laisser aller et partir, se laisser aller à mourir…
Se laisser aller pourrait être traduit par fuir, fuir et toujours fuir.
C’est un peu ça, non ? Car pourquoi fuyons-nous ou plutôt pourquoi nous fuyons-nous ?
Peut-être considérons-nous que l’âme est emprisonnée dans un corps d’humain et que nous cherchons désespérément à sortir, à partir et, retrouver ainsi ce qui était auparavant ?
Ceci expliquerait bien des choses ; que nous sommes toujours en partance pour un ailleurs, vers un autre espace où tout serait plus libre, plus magique, plus coloré, plus proche d’un état confiant, tenu par une force divine qui nous tiendrait totalement en complétude ; cet état totalement absent de besoin, de contrainte, de responsabilité et qui est submergée de joie de bonheur et d’exaltation… Dans tous les cas, plus que ce que nous vivons actuellement.
Oui, oui, oui toujours plus, toujours mieux, toujours plus perfectible, plus plus plus.
Nous sommes les champions de se laisser aller comme une balle de flipper se laissant rebondir d’émotions en émotions, de railleries en railleries, d’agacements en agacements, de violences en violences. Mais très rarement de plaisirs en plaisirs, de joies en joies, de bonheurs en bonheurs, n’est-ce pas ?
Lorsque nous sommes dans une réaction, nous sommes littéralement attrapés par le sujet, par l’événement, la situation, et même parfois par le courant de nos pensées. Lorsqu’une situation se termine nous sommes encore tout pris par ce qui vient de se passer. Nous consommons ainsi jusqu’à la li ce que nous venons de vivre et pourtant nous avons du mal à terminer les situations, du mal à se sortir de l’emprise de notre vécu. Tellement ce que nous vivons ici ne suffit pas à remplacer ce vieux souvenir qui nous comblait tellement. Nous prenons souvent mais nous ne rendons que très rarement.
Nous vivons dans un souvenir sans réel souvenir. Nous vivons dans un passé sans passé car nous avons une vague idée de ce qui s’est passé réellement, nous n’avons que très peu d’information sur les tenants et les aboutissants réels du passé. Nous n’avons que notre vision des choses, des situations et des événements et le temps égraine les souvenirs. Nous vivons pour un futur sans futur car nous ne sommes ni dans le passé, ni dans le présent. Nous projetons un futur idéal et très rarement en phase avec notre évolution.
Quelqu’un à dit :
« Vivre dans le passé c’est vivre dans la dépression
Vivre dans le futur c’est vivre dans le stress
Vivre dans le présent c’est vivre dans la sérénité »
Le passé, nous pourrions nous le rappeler mais non faire dépendre nos émotions d’aujourd’hui avec des situations passées. elles appartiennent au passé et non plus de liaisons avec notre avenir ou notre présent. Une situation passée a trouvé une solution mais n’est forcément la même résolution aujourd’hui. Nous avons évolué et nous résoudrons cette situation différemment. Alors pourquoi s’attacher au passé ?
Le futur, nous pourrions arrêter de vouloir le contrôler pour libérer de la place dans notre esprit afin de pouvoir accueillir de nouvelles opportunités ou de nouvelles créations. Le stress nous limite et élimine l’espace intérieur qui nous est primordial pour notre sérénité et notre paix.
Il n’y a que le présent, la conscience de l’instant qui peut nous permettre de réaliser où nous sommes et où il est juste que nous allions pour créer un futur plus juste.
Mais tout cela n’est possible que si nous avons le courage de nous rencontrer. Possible que si nous avons le courage de baisser notre garde, de devenir fragile aussi fragile que le verre des anciens vitraux. Possible mais pas impossible. Dans tous les cas pour prendre des décisions plus en rapport avec ce que nous sommes.
Pourquoi ce chemin ?
Renoncez à l’obtention d’obtenir,
Remplacez-la par l’intention de donner,
Et vous recevrez ce à quoi vous avez renoncé.
Vadim Zeland
Nature
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Nature
Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…
Mais est-ce là notre véritable nature ?
Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.
Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?
Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine; notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.
La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.
Certes nous ne sommes pas des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain. Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations. En fait il s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées et qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.
Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.
Citation du Buddha Shakyamuni
« … Oui, Kâlâma, il est juste que vous soyez dans le doute et dans la perplexité, car le doute s’est élevé en une matière qui est douteuse.
Maintenant, écoutez, Kâlâma, ne vous laissez pas guider par l’autorité de textes religieux,
ni par la simple logique ou l’inférence,
ni par de la tradition,
ni par de la rumeur,
ni par les apparences,
ni par le plaisir de spéculer sur des opinions,
ni par des vraisemblances possibles,
ni par la pensée « il est notre maître ».
Mais, Kâlâma, lorsque vous savez par vous-mêmes que certaines choses sont défavorables, alors, renoncez-y…
Et lorsque par vous-mêmes vous savez que certaines choses sont favorables et bonnes, alors acceptez-les et suivez les. »
(Bouddha Shakyamuni).
Expériences
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Expériences
Le Bouddha a enseigné que la méditation est le moyen d’atteindre la réalisation. Pour prendre un exemple, supposons que quelqu’un n’ait jamais mangé de miel. On ne peut convaincre cette personne qu’il est sucré, simplement en lui répétant que tel est le cas.
Même si cette personne comprends le sens des mots employés, tant qu’elle ne l’aura pas goûté, elle ne fera pas l’expérience de sa douceur.
En ce qui concerne le Dharma, même si nous recevons les enseignements et y réfléchissons pendant longtemps, tant que nous ne les appliquons pas dans la méditation, nous ne pouvons les intégrer.
THRANGOU RINPOCHE.
La pratique est primordiale. Chaque expérience doit se faire en temps et en heure. Précipiter les choses ne causera que désagrément et fera naître d’autres effets.
Nous ne sommes pas venus ici pour tout tester, tout expérimenter, sauf si nous en faisons le choix. Mais est-ce un réel choix ?
Nous sommes venus pour faire certaines expériences. A chaque mouvement, la nature cherche la voie du milieu, celle de l’équilibre. Ainsi un esprit en mouvement rencontrera le mouvement. Ainsi un corps en mouvement, rencontrera le mouvement. Qu’il soit intérieur, subtile ou encore extérieur, le mouvement existe bel et bien. Même lorsque nous nous arrêtons ou plutôt même lorsque nous semblons nous arrêter. Le mouvement attire le mouvement et parfois pas celui que l’on souhaite. En d’autres termes nous devons méditer sur ce qui est bon pour nous au moment où nous l’expérimentons. Si cette faculté de mouvement est en symbiose avec la ou les situations que nous vivons ainsi que nous même, alors ce mouvement fera parti d’un tout et nous bénéficierons d’effets positifs.
Savoir renoncer à une situation parce que nous ne sommes pas prêt est aussi efficace que d’expérimenter une situation, parce que nous ressentons la nécessité forte intérieure de le faire. Non point parce que cela nous rapportera quelque chose mais bien parce qu’un élan intérieur nous guide. Non point parce que nous sommes tenaillés par la possession ou l’envie d’avoir, de posséder ou parfois même, le simple fait d’expérimenter pour expérimenter, mais bien parce qu’une communication subtile, un appel intérieur, une intimité naissante s’installe. Et pour reconnaître cela en nous, nous devons nous connaître, nous regarder, nous voir et installer une pratique de notre intimité profonde.
Cultiver la patience apprend à développer la compassion envers ceux qui nous blessent sans accepter pour autant qu’ils nous détruisent. La compassion est le meilleur thérapeute de l’esprit. Elle le libère de toutes attaches et de la saisie des émotions conflictuelles. Sa Sainteté le 14ième DALAÏ-LAMA
Sans cesse, nous créons notre propre malheur du fait de notre ignorance et de notre discernement. Notre esprit est tiraillé entre ce que nous aimons et ce que nous rejetons. Nous agissons comme si nous pouvions refuser les circonstances qui se pr2sentent à nous. Nous oublions que rien ne dure et n’a d’existence en soi. Nous oublions que nous pouvons mourir à tout instant. Sa Sainteté le 14ième DALAÏ-LAMA
La nuit, si nous regardons le reflet de la lune à la surface paisible d’un étang, elle a exactement la même apparence que si nous la voyons dans le ciel. A nos yeux, il n’y a aucune différence, et pourtant, nous savons que la lune dans le lac n’est qu’un reflet, une illusion.
Pour cet exercice, vous pouvez vous servir de votre miroir :
regardez-vous simplement un instant dans la glace. Vous voyez le moindre détail – la taille que vous faites, le nombre de cheveux blancs que vous avez aujourd’hui. Mais en dépit des apparences, ce n’est pas réel. Tout comme la lune dans le lac, le visage que vous observez n’est qu’un reflet.
C’est une méditation contemplative qui nous aide à comprendre que, dans le monde, rien n’a une réalité immuable. Cela nous aide à mieux comprendre que c’est l’esprit qui donne du sens à tout ce qui nous entoure – qu’il n’y a pas une vérité unique, mais que tout n’est que perception et apparence. C’est la raison pour laquelle deux personnes qui ont vécu exactement la même situation en ont parfois une perception très différente. Imaginez-vous simplement par exemple, en vacances à la campagne. Quand il pleut vous êtes très déçu, mais les paysans sont ravis.
La pluie est-elle une bonne ou une mauvaise chose?
Il n’y a pas de réponse définitive.
L’objectif de ce types de méditation est de nous exercer l’esprit, afin que nous puissions nous mettre à la place des autres pour essayer de voir les choses de leur point de vue, même s’ils nous contrarient ou nous énervent dans un premier temps. Il est si facile de juger les autres, et nous oublions souvent de prendre le temps de voir que la situation est généralement plus complexe qu’il n’y paraît, et que nous ne sommes peut-être pas parfaits non plus.
Si nous étions parfaits, nous serions Bouddha.
LE BONHEUR EST DÉJÀ LA.
SA SAINTETÉ LE GYALWANG DRUKPA.
Teyatha, Gaté Gaté, Paragaté, parasamgaté, Bodhi Svaha!
(de cette façon, allez allez, allez au-delà, allez complètement au-delà de vous, vers l’éveil et la lumière infinie)
Ne vous laissez pas ralentir par ce monde mais demeurez dans la vision juste et restez bien connecté à la nature même de toutes choses et de vous même. Pour ceci vous devez vous connaître dans les moindres détails.
Il n’y a de cœur que la personne qui veut bien ouvrir le sien.
Il n’y a d’honnête que la personne qui se dévoile à l’autre.
Il n’y a d’amour que si les deux font le chemin.
Hervé lesintuitions.com
Nous allons chercher toujours à l’extérieur de nous ce dont nous avons besoin lorsque nous sommes mal à l’aise, lorsque nous sommes dans un mal être. Il faut que nous allions chercher la solution à l’extérieur de nous même, c’est comme une attirance. Dans notre société d’aujourd’hui, tout est fait pour nous mettre mal à l’aise. Pour éviter de nous reconnecter avec notre moi profond ou avec notre esprit clair, avec aussi notre essence profonde. La peur, qui est un des outils pour nous faire aller vers l’extérieur, est omniprésente aujourd’hui dans notre environnement. Du moins c’est ce que nous croyons et c’est ce que nous voyons par ce qu’il manque dans notre vie et non pas par ce que nous avons et aspirons à notre vie.
La solution serait de ne pas écouter, de ne pas se laisser prendre, mais notre vision des choses, des situations, des événements peut nous amener à nous reconnecter et nous donner la possibilité d’entrevoir que le bien être est tout à fait possible. Que de se lâcher, de se relâcher, d’établir une confiance, s’abandonner et bien entendu tout cela pour soi même, peut être considéré possible aujourd’hui.
Si tenter que, non pas que nous nous détournions, non pas que nous nous mettions en défense, non pas que nous nous mettions en attaque par rapport à ce que nous vivons aujourd’hui, mais bien d’écouter les vibrations d’écouter ce que les mots, les expériences quotidiennes révèlent à nous même. Regarder la vie avec notre plus simple appareil sans attraper et sans prendre pour soi les situations qui passent devant nous.
Regarder ce que les mots ont comme incidence sur nous. L’intention, dans un premier temps, et dans un deuxième temps de regarder, de ce regarder soi même, par rapport à notre environnement, par rapport à cette situation. C’est ce que l’on crée, ce que l’on fait tous les jours dans un mode inconscient. Quel mot employons-nous ? Comment communiquons-nous ? Avec quelle intention, quels arrières pensées s’il y en a ? C’est à dire la pratique journalière du regard de notre monde celui dans lequel nous vivons filtré par notre esprit que l’on peut appeler grossier car non maîtrisé. C’est aussi une pratique intime avec nous même sans fuite et sans jugement qui va nous permettre de nous rapprocher de nous.
Aujourd’hui tout est fait pour que nous soyons projeté vers l’extérieur et que nous nous arrêtions de nous connecter avec notre moi profond, de pratiquer ce rapprochement intime. Il est primordial de voir cela, de sentir cela, de vibrer cela, de le ressentir dans chaque cellules de notre corps, jusqu’à la fleur de notre peau. Voir le moment où l’on se tourne vers l’extérieur, voir le moment où l’on lâche où l’on est submergé, pris par le tumulte de la situation ou les vicissitudes de la vie.
Ainsi pour notre bien être quotidien qui aura comme conséquence non pas le fait de décider de s’en sortir auquel cas cela deviendrait un but, mais par l’intention de regarder avec quel esprit nous vivons. Voir la situation dans le présent. Se voir.
Car c’est par la conscience de l’endroit où nous sommes qui va déterminer si nous devons bouger ou non. Peu importe d’où nous venons. Car tant que nous ne sommes pas conscient de l’endroit où nous nous trouvons, tant que nous restons dans l’ignorance des facultés que nous avons, tant que nous restons dans l’ignorance du pouvoir que nous avons nous ne bougerons pas. C’est lorsque nous mettons de la conscience, du regard, de la vibration dans ce que nous faisons, dans ce que nous sommes, c’est lorsque nous mettons de la présence, que l’intention prends forme et que notre puissance se met en route. Et donc que notre amour, notre joie et notre regard juste puisse s’épanouir.
L’harmonie avec notre quotidien, celui qui est fait de notre environnement naturel celui qui nous entoure. Connectons-nous avec notre origine, avec notre terrain, avec l’essence de qui nous sommes, la terre et le véhicule qui nous permettent d’expérimenter les évènements et les situations dans cet espace temps qu’est notre quotidien.
Dans la présence à soi
Bonne journée 🙂
1 – L’amour soigne tout
« Jamais la haine ne cesse par la haine ; c’est la bienveillance qui réconcilie. »
2 – Ce n’est pas ce que vous dites mais ce que vous faites qui définit qui vous êtes
« Un chien n’est pas considéré comme un bon chien parce qu’il est bon aboyeur. Un homme n’est pas considéré comme un homme bien parce que c’est un bon orateur. »
« Ce n’est pas un homme sage parce qu’il parle beaucoup ; mais celui qui est calme, affectueux et courageux est appelé sage. »
3 – Le secret d’une bonne santé est de vivre pleinement l’instant présent.
« Le secret de la santé, autant pour le corps que pour l’esprit, c’est de ne pas pleurer sur le passé, ne pas s’inquiéter du futur, ni anticiper les problèmes… mais de vivre dans le moment présent, sagement et sincèrement. »
« Ne vous attardez pas sur le passé, ne rêvez pas de l’avenir, concentrez votre esprit sur le moment présent. »
4 – Les mots ont le pouvoir de blesser et de soigner en même temps.
« Les mots ont le pouvoir de détruire ou de guérir ; lorsqu’ils sont justes et généreux, ils peuvent changer le monde. »
5 – Qui regarde à l’intérieur s’éveille.
« Le chemin n’est pas dans le ciel. Le chemin est dans le cœur. »
Je tiens tout particulièrement, à vous présenter mes vœux les plus sincères et emprunts d’encouragements.
En effet, l’année 2015 revêt une énergie et une dynamique de renouveau, de changement et de stabilisation. Ces modifications peuvent, pour certains d’entre nous, être mal interprété ou encore nous déstabiliser au plus haut point.
Le moyen le plus simple, pour ne pas se laisser happer, nous laisser saisir, par un certain courant de la vie, c’est de rester centré.
Alors que veut dire cette phrase tant entendu dans les milieux New-age ou encore dans les milieux des stages d’évolution personnel.
Rester centré c’est être conscient de soi, de son corps, de son esprit et par là même de ses pensées. Trois principes à pratiquer en cette nouvelle année, qui sont
– L’attention envers soi. D’être en accord avec notre quotidien ou, tout au moins poser une conscience sur ces évènements..
– Vigilance pour ne pas retomber ou se laisser prendre par des schémas ou encore pour ne pas se laisser happer par le courant de la vie des autres ou de nos mauvais choix.
– L’espace. Être spacieux intérieurement pour regarder et observer la vie avec plus de discernement.
Ainsi et pour cette année 2015, je vous souhaite le meilleur et tellement d’évènement plus doux que l’année dernière. On ne sait jamais à l’avance ce qui peut arriver dans les minutes, les heures, les jours ou les semaines à venir, alors je voulais vous dire : « qui que vous soyez, prenez soin de vous et de votre entourage ».
Puissiez-vous travailler votre écoute, l’écoute de vos proches et de votre entourage et ainsi faire grandir l’altruisme au plus profond de vous. L’altruisme est simplement, tendre la main à son prochain non point lui imposer. L’altruisme c’est l’écoute non point que parler. C’est aussi le partage ou peut être même juste un sourire, un regard.
Simplement être là, être dans l’instant qui peut être, quelques secondes, quelques minutes, quelques mots ou simplement un geste. Et lorsque l’instant, la situation ou l’évènement se termine, repartez-vous avec légèreté ? Repartez-vous avec le sentiment profond d’être plus heureux ? Repartez-vous avec le sentiment profond d’avoir fait ce qu’il fallait pour la situation, pour l’évènement ou encore pour l’instant et, non que pour vous ou ce que vous croyez juste pour l’autre ? Repartez-vous avec la paix/sérénité intérieure ?
Ainsi est l’évolution. Ainsi est le centrage. Ainsi est.
Pensez que toutes altérations dans notre vie, c’est à dire les situations, les évènements, les personnes, qui ne nous amènent pas vers notre sérénité, vers notre paix ou encore vers notre fluidité fera l’objet d’un nouvel essai dans notre vie. C’est à dire que la vie nous représentera l’instant, les évènements et des situations similaires jusqu’à que notre intérieur puisse aborder le changement, l’évolution avec neutralité ou joie et sérénité.
Bonne Année 2015
Hervé
Si tu veux changer le monde, appuies sur le bouton de la connaissance, le bouton de TA connaissance et ainsi s’ouvrira le monde. Lorsque tu t’ouvriras comme le monde, tu sauras alors quelles parties de toi sont venues expérimenter, sont venues exprimer, sont venues te dire que l’amour est en toutes choses et qu’il n’y a que le regard qui doit changer pour faire de ce monde, pour faire de TON monde, un paradis. Change ton esprit, c’est à dire regarde les choses de différentes manières pour en obtenir toutes les informations qui puissent te faire grandir et instantanément tu ouvriras les portes de ton cœur et les coeurs de ce monde. Change ton esprit et instantanément tu sauras ce qui est juste. Change ton esprit est ainsi tu seras dans l’instant, au cœur même de la justesse. Et si la partie qui t’attire, la partie qui te parle le plus est féminine, alors lis ce poème de Lisa Citore, car il ouvre, il donne et insuffle l’altruisme, la justesse de l’instant, la justesse de l’échange, du partage et du cœur. Et ainsi, s’accomplira le lien qui nous lis tous, l’amour inconditionnel.
Bien à vous
Hervé
« Si tu veux changer le monde, aime un homme… aime le vraiment. Choisis celui dont l’âme appelle véritablement la tienne, celui qui te voit, et qui est suffisamment courageux pour avoir peur…
Accepte sa main et guide le doucement vers le sang de ton cœur, où il peut sentir ta chaleur autour de lui et s’y reposer, et brûler toutes ses lourdes charges dans tes flammes. Regarde le dans les yeux, regarde au plus profond de lui, et vois ce qui s’y trouve, endormi ou éveillé, ou timide ou impatient. Regarde le dans les yeux et vois ses pères et grand-pères et toutes les guerres et autres folies que leurs esprits ont combattues dans des contrées lointaines il y a longtemps. Regarde leurs souffrances et leurs luttes, leurs tourments et leur culpabilité; sans jugement. Et laisse cela partir. Ressens son fardeau ancestral, et comprends que ce qu’il recherche en toi c’est un refuge sûr. Laisse le se fondre dans ton regard stable, et sache que tu n’as pas besoin d’être le miroir de cette rage, parce que tu as un utérus, une porte douce et profonde qui soigne et purifie les vieilles blessures.
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L’enseignement
« L’enseignement n’est pas simplement entendre des informations, aussi claires, aussi justes, aussi vraies soient-elles.
L’enseignement c’est, les entendre puis les convertir en actes.
Vérifier ! Vérifier par une pratique juste et en reconnaitre la réalité. En faire le vrai, en faire quelque chose de vécu.
Quand l’enseignement d’une information est devenu ton vécu, alors l’enseignement est vivant. Avant, l’enseignement n’est rien. ça n’a même pas le droit d’être appeler enseignement.
L’enseignement, c’est quand ta vie est l’enseignement. « Merci », « pardon », tout ça c’est la séparation, c’est l’autre, c’est pas l’un. Rapport dominant, dominé, les trucs habituels… Disparition d’offenseur et d’offensé… Reconnaissance d’offenseur et d’offensé qui ne font qu’un.
Tout un travail pendant des années permet de prendre le risque de l’autre. Permet de prendre le risque de l’offenseur. Reconnaitre que l’offenseur et l’offensé sont là. Prendre le risque de l’autre, prendre le risque de l’univers, prendre le risque de l’instructeur… Et même quand l’amour ne s’excuse pas de t’avoir bousculé au plus profond de toi, c’est une bénédiction d’avoir été bousculé par l’amour. »
Tout à une fin !
Est-ce que cela vous contrarie ou vous gêne, lorsque vous attentez cette phrase ?
Le tout n’a pas de fin, parce que tout ce que l’on fait au sein du tout a une fin. Aller contre la fin de tout, ce qui se fait, c’est aller contre la vérité du tout. La fin est la loi de la vie. Toute chose a sa fin. Et c’est par la fin de chaque chose que le tout est éternel. C’est parce que tout a une fin, que le tout est central.
Si je peux vivre chaque chose en adhérant au simple fait que cette chose a sa fin, je développe une autre relation à cette chose. Déjà, je ne la considère plus hautement et exclusivement par rapport à moi. Si je cultive des roses dans mon jardin, si je les cultive que pour moi, je vais être malheureux que cette rose grandisse, se fane et meure. Si je cultive la rose pour la rose, la voir se développer normalement puis perdre ses pétales, et disparaître, alors c’est une joie constante.
L’art de vivre, c’est de bien vivre toutes les fins.
Yvan Amar
Le temps est ce monde. Ce monde est le temps. il peut être un ami du chercheur, il peut être un ennemi du chercheur. Si et lorsque un chercheur fait de ce monde une école où il doit appendre et grandir dans la vérité et la conscience de qui il est, alors le monde est un ami. Si et lorsque le chercheur fait de ce monde un lieu où il essai seulement de jouir des plaisirs des sens alors définitivement, ce monde, trouve être un ennemi.
Heureux est celui qui ne cherche pas à être.
Heureux est celui qui vie dans la simplicité.
Heureux est celui qui vie dans l’accueil.
Heureux est celui qui vie dans la vision claire et la présence en chaque instant.
L’eau, si vous ne l’agitez pas, deviendra claire.
De même l’esprit inaltéré, deviendra clair et trouvera la paix, la joie et la félicité.
Proverbe Tibétain.
Le meilleur moyen de se connaître, c’est de s’observer !
« Pour ceux qui pensent que les choses naissent, demeurent, et disparaissent, il faut dissiper ce malentendu en comprenant la survenue en dépendance et, le fait que tous ce que nous percevons comme caractéristiques ne sont que des étiquettes ». Nāgārjuna
Vous ne comprenez au-dehors de vous que ce que vous avez déjà compris en vous…
Soyez sûrs que la totalité de l’humanité est toujours en vous, plus ou moins exprimée dans des équilibres différents.
Mais ce que vous refusez d’accepter consciemment en vous, vous refusez de l’accepter consciemment au dehors parce que le dehors vous renvoie à vous-même et vous oblige à refuser encore plus.
Si vous avez tout accepté en vous, si vous avez vu consciemment que l’univers entier était en vous, le meilleur du meilleur, le pire du pire, tout, – vous connaissez au vrai sens du mot connaître qui signifie « être consciemment », tout, et par conséquent plus rien ne vous est étranger ; plus rien.
Le criminel n’est pas un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
L’idéaliste n’est un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
Le mystique n’est pas un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
Le vaniteux n’est pas un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
C’est votre conscience qui accepte la totalité de ce qui est en vous et qui accepte ce qui est au dehors de vous.
Et vous avez découvert que la valeur suprême, c’est cette conscience-sans-ego elle-même, en laquelle et par laquelle tout est résolu – tout – puisqu’elle est libre.
Seule cette conscience est vraiment vous-même.
Vous avez traversé une étape où la conscience de soi habituelle, endormie, a paru en effet être démantelée, parce que tous les aspects de vous ont été présents au même moment, au lieu qu’un seul vienne à la surface.
Dans la pleine acceptation de ces contradictions, vous avez découvert la totalité et vous avez découvert l’unité.
(Arnaud Desjardins – Au-Delà du Moi)
maître Dilgo Khyentsé Rinpoché avait coutume de dire : « Plus vous écoutez, plus vous entendez ; plus vous entendez, plus votre compréhension s’approfondit. ».
Certaines personnes pensent que, lorsqu’elles méditent, elles ne devraient avoir aucune pensée, aucune émotion. Si pensées ou émotions se manifestent, cela les contrarie, les fâche contre elles-mêmes et les persuade qu’elles ont échoué. Rien n’est moins vrai. Ainsi que le dit un proverbe tibétain : « C’est beaucoup demander que de vouloir de la viande sans os et du thé sans feuilles. » Tant que vous aurez un esprit, des pensées et des émotions s’élèveront. Sogyal Rimpoché
/ Je prends refuge auprès du Bouddha en souhaitant que tous les êtres sensibles comprennent profondément la grande voie et prennent la plus ferme détermination;
/ Je prends refuge auprès du Dharma en souhaitant que tous les êtres sensibles étudient profondément le Sūtra Piṭaka et que leur intelligence soit aussi vaste que l’océan;
/ Je prends refuge auprès du Sangha en souhaitant que tous les êtres sensibles se comprennent bien et s’entendent à merveille sans rencontrer aucun obstacle.
Quand vous prenez les choses, c’est à cause d’une soif, d’une appropriation, d’une saisie ; vous devriez perdre cela, et le perdre entièrement, au-dessus, au-dessous, tout autour, et à l’intérieur. Qu’importe ce que vous saisissez, dès que vous saisissez vous êtes en train de perdre votre liberté. Comprenez-le et ne saisissez rien. Alors, vous cesserez d’être tel que vous fait l’attachement, lié au pouvoir de la mort, de Mara. Bouddha
Il est important, quand vous pratiquez la méditation, de ne pas vous laisser entraîner à un commentaire mental, ni à une analyse ou à un bavardage intérieur.
Ne confondez pas le commentaire mental de votre esprit – « maintenant j’inspire, maintenant j’expire » – avec l’attention.
Ce qui compte, c’est la pure présence. Ne vous concentrez pas trop intensément sur la respiration ; accordez-lui à peu près 25% de votre attention, laissant les 75% restant dans une détente calme et spacieuse. A mesure que votre respiration deviendra plus consciente, vous serez davantage présent ; vous rassemblerez tous les aspects fragmentés de vous-même et trouverez la plénitude.
Sogyal Rimpoché – extrait du chapitre 5 du Livre tibétain de la vie et de la mort
On pourra dire, noter, autant de mots pour décrire les événements, les choses, les personnes c’est qu’il y a encore notre esprit qui s’attache, qui distortionne, qui souffre … je crois que lorsque le silence de l’esprit est au rendez vous et que l’évidence sans mot, l’évidence d’un ressenti, l’évidence d’être là au bon endroit s’installe, alors c’est que la justesse de vivre est là, c’est le bonheur qui se pratique…Pas habituel pour des humains sans cesse dans le bruit et la fuite du moment !
On pourra dire, noter, autant de mots pour décrire les événements, les choses, les personnes c’est qu’il y a encore notre esprit qui s’attache, qui « distortionne », qui souffre … je crois que lorsque le silence de l’esprit est au rendez vous et que l’évidence sans mot, l’évidence d’un ressenti, l’évidence d’être là au bon endroit s’installe, alors c’est que la justesse de vivre est là, c’est le bonheur qui se pratique…Pas habituel pour des humains sans cesse dans le bruit et la fuite du moment !
On s’enrichit de ce que l’on donne,
On s’appauvrit de ce que l’on prend.
L’important n’est pas de convaincre,
Mais de donner de la justesse.
Le but n’est pas de séduire,
Mais de briller par notre cœur, notre présence.
La simplicité de s’accompagner, de s’aimer
La douceur d’une respiration
La souffle d’un geste.
Ainsi demeure la simplicité d’être soi.
Aimer, ce n’est pas mutiler l’autre, le dominer, mais l’accompagner dans sa course, l’aider.
L’amour vrai est le contraire de la volonté de puissance.
Aimer, c’est réussir à donner à l’autre confiance en lui.
Yvan amar
Il n’y a pas plus grand voyage que celui de la vie.
Alors pourquoi partir ?
Soi ton corps, soi ton esprit.
Soi ton âme et ton énergie.
Il n’y a pas plus grand voyage, que celui de ta vie.
Du point de vue de l’enseignement il n’y a rien qui soit juste. il y a simplement des situations vraies. Et il vaut mieux quelque chose de faux qui soit vrai, que quelque chose de juste qui ne le soit pas !! La notion du juste est toujours lié à la démarche du résultat. C’est toujours notre ancien fonctionnement. La situation juste devant engendrer le bon résultat. Dans l’enseignement, il n’y a plus de résultat. Il n’y a que des situations vraies. La situation vraie implique une responsabilité. L’enseignement n’est pas là pour répondre à nos questions, mais nous suivons l’enseignement pour répondre de nos questions. La situation juste redevient, d’une façon déguisée, la circonstance favorable. Il n’y a pas de circonstance favorable pour celui qui est sur le chemin de la conscience. Il n’y a que des occasions de travail. Yvan Amar
Il n’est de cesse de rechercher sa véritable nature en toutes choses. Mais il est possible de se trouver en toutes choses. Même dans le non visible, même dans le subtile, même dans l’incroyable et le normal car tu es tout cela.
Un adage : L’eau, si vous ne l’agitez pas, deviendra claire.
De même que pour l’esprit inaltéré, c’est à dire si vous ne l’agitez pas,
trouvera sa paix, son regard clair, son bien être et sa félicité.
Vous vous attachez ?
Tout est impermanence !
Il parait que nous vivons dans un monde d’illusion.
Mais ne crois tu pas que l’illusion est celle de notre esprit qui tente à nous faire croire
qu’il n’existe qu’une seule partie, celle des émotions et des pensées ?
Une fois l’esprit dompter, conquis, vu et maitrisé, il y a notre nature véritable.
Être dans la vigilance de chaque instant et regarder vers soi la vibration que tout mon être émane,
c’est cela qui va me permettre de définir mes choix.
La vie n’est pas d’apprendre des quantités de chose mais bien d’apprendre de soi même,
de chaque instant qui passe et, de savoir ce que l’on vibre dans l’instant présent.
Regardes ce que tu vibres dans l’instant.
Dans la vibration et la perception,
j’organise mon présent par rapport à mon futur potentiel.
Le samsâra c’est le regard tourné vers l’extérieur perdu dans ses projections.
Le nirvana c’est voir vers l’intérieur et reconnaître sa véritable nature.
Qui fait du mal ? qui fait du bien ? c’est l’esprit.
Un corps posé et un esprit en paix,
demeurent plus facilement dans l’observation et la non distraction.
Il n’y a que des facteurs déclenchants, des balanciers ; non point des personnes responsables
de nos expériences difficiles.
Dans la vie il n’y a que des situations.
Le mental en fait des problèmes. Arnaud Desjardins
Mais qu’est-ce que la souffrance ?
La souffrance est la non acceptation des limites.
– Quand deux personnes sont en colère l’une contre l’autre, leurs cœurs sont séparés par une grande distance. Pour couvrir cette distance, ils doivent crier, car sinon ils sont incapables de s’entendre l’un et l’autre. Plus ils sont en colère et plus ils auront besoin de crier fort pour s’entendre l’un et l’autre pour arriver à couvrir cette grande distance.
– Qu’est-ce qui se passe lorsque deux personnes tombent en amour? Ils ne crient pas à l’autre, mais ils se parlent doucement parce que leurs cœurs sont très proches. La distance entre eux est soit inexistante, soit très faible….